Quand on s’appelle Ophélie Roque, par quelle bizarrerie atterrit-on dans une salle de classe ?
Par un détour quelque peu étrange… À dire vrai, l’enseignement n’était pas du tout une vocation, j’avais – tout au plus – le vague pressentiment que ce métier pourrait être « drôle ». Je n’étais pas fan du collège en tant qu’élève mais j’ai néanmoins conservé le souvenir de certains faits qui se rapprochent beaucoup de ce que l’on pourrait qualifier d’« arlequinade ». On se marrait à peu de frais… Pour résumer, c’est le désenchantement et l’ennui ressentis dans les métiers bureaucratiques du milieu culturel qui m’ont fait bifurquer vers ce qui était, non pas une voie de repli, mais du moins une échappatoire. Et je ne regrette rien ! Les élèves ayant un sens de l’humour souvent beaucoup plus développé que celui des adultes ! [...]
Par un détour quelque peu étrange… À dire vrai, l’enseignement n’était pas du tout une vocation, j’avais – tout au plus – le vague pressentiment que ce métier pourrait être « drôle ». Je n’étais pas fan du collège en tant qu’élève mais j’ai néanmoins conservé le souvenir de certains faits qui se rapprochent beaucoup de ce que l’on pourrait qualifier d’« arlequinade ». On se marrait à peu de frais… Pour résumer, c’est le désenchantement et l’ennui ressentis dans les métiers bureaucratiques du milieu culturel qui m’ont fait bifurquer vers ce qui était, non pas une voie de repli, mais du moins une échappatoire. Et je ne regrette rien ! Les élèves ayant un sens de l’humour souvent beaucoup plus développé que celui des adultes ! [...]
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