« Quand on ne sait pas quoi faire, on se tourne naturellement vers le conseil », résume laconiquement Édouard du Peloux, avec un air pince-sans-rire bien à lui. Et il est vrai que le parcours du jeune homme semblait tout tracé. Il aurait pu, comme plein d’autres avant lui, creuser son sillage dans la finance […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !