L’analyse du phénomène totalitaire a produit quelques grands classiques, fort complémentaires au demeurant : il y a la pénétrante dissertation philosophique d’Arendt, l’effroyable roman dystopique d’Orwell ou la minutieuse chronique carcérale de Soljenitsyne. Les Ombres chinoises de Simon Leys, rééditées par Les Belles Lettres, ont toute leur place dans ce panthéon, et y occupent, à la manière du dernier, la galerie documentaire. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !