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Jeudis de GZ : La Génération Z se forme

Alors que l’ivresse de la présidentielle et des législatives semble avoir déserté le QG de campagne de Reconquête, il reste les très fidèles militants de Génération Z. Ils ont été de tous les collages, de tous les tractages, de tous les meetings mais il leur manquait peut-être quelque chose de fondamental dans leur engagement politique : la formation intellectuelle. Pour pallier cette absence, la direction du mouvement jeune a mis en place les jeudis de GZ. Le concept est simple et efficace : une conférence donnée rue Jean Goujon chaque jeudi par des personnalités hétéroclites permettant de balayer un vaste ensemble de sujets. Le président de Génération Z, Stanislas Rigault l’assure : « L’objectif est triple : formation, cohésion et varier les thématiques sans tomber dans le jeu de l’actualité pour prendre de la hauteur sur certains sujets ».

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Pour le lancement de ce cycle de conférence, Génération Z a décidé d’inviter l’avocat très coutumier des plateaux de CNews, Pierre Gentillet.…

Marion Maréchal : « Le défi du bateau de Thésée face à l’immigration »

Imaginez un navire. Un navire dont vous commenceriez par changer la proue, puis le gouvernail, la coque, le mât, la voile et enfin l’ensemble des pièces qui le constituent au fur et à mesure de leur érosion. Selon vous, à l’issue de cette transformation, sera-ce toujours le même vaisseau ? Cette image de Plutarque dans Vie de Thésée offre le support pour une réflexion essentielle sur l’identité. Imaginons que ce bateau soit notre civilisation et que vous en remplaciez le peuple, la culture, les mœurs, la religion, serions-nous toujours devant la même civilisation ? Telle est la question vertigineuse que nous posent l’immigration de masse et son corolaire, l’islamisation.

Bien sûr, malgré le grand remplacement à l’œuvre, la France sera toujours sur le continent européen, elle aura toujours les mêmes frontières, les mêmes paysages, du moins si elle échappe à la bétonisation accélérée et aux champs d’éoliennes, elle conservera certainement le même nom.…

Éditorial d’Arthur de Watrigant : Le lâche, la brute et le bourgeois

Des mégabassines de Saint-Soline aux Grands Boulevards parisiens l’extrême gauche rejoue le grand soir. Sous les yeux béats d’Anne Hidalgo, l’Esmeralda des surmulots, Paris s’est transformée en déchetterie géante, logique, diront certains, pour la capitale d’un pays devenu la poubelle du monde. Le terrain de jeu se révèle idéal pour les milices gauchistes qui feignent de combattre le fascisme en pompant sur les groupies de Mussolini, des méthodes aux cibles, le style en moins. Alors ils canardent à coups de mortiers artisanaux le flic smicard, ils repeignent chaque devanture d’ACAB, ils dépècent les abribus, déterrent des poteaux de feux de circulation et bien sûr visent les symboles du grand capital, les Mac Do, oubliant que les assurances rembourseront tout, même un peu plus. « Ces gueules de fils à papa aux prérogatives de petits-bourgeois » comme le fulminait le grand Pasolini, se tamponnent de détourner l’attention des contestations sociales ou de la misère des p’tites gens qu’ils méprisent autant qu’un banquier, car seul compte le chaos : cette pulsion prépubère qui les fait bander en lançant du pavé pour mieux dégueuler leur hystérie révisionniste comme un lendemain de cuite à la tequila bas de gamme.

L’Incorrect

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