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Niveau scolaire : l’école des nazes

Ce qui revient dans la bouche de tous les professeurs, au-delà des explications propres à chaque matière, c’est l’effondrement du niveau en langue. Pour faire court, quand bien même ils ont des idées sur le fond, les élèves sont tout à fait incapables de les exprimer dans une copie. Pour Élodie Weber, professeur de linguistique espagnole à la Sorbonne, c’est le problème numéro un : « La plupart de mes collègues font ce constat : le niveau en langue française est alarmant ». Et de détailler : « Il y a des problèmes à tous les niveaux : l’orthographe évidemment, mais pas seulement. C’est aussi la syntaxe, et plus encore la ponctuation qui est devenue catastrophique, ce qui veut dire qu’il n’y a plus de pensée logique ».

Lire aussi : Édito : L’école est finie

À mesure qu’ils ne maîtrisent plus les mots, les élèves sont dénués des instruments pour raisonner, jusqu’à devenir proprement muets – et ce dans toutes les matières. Professeur d’histoire, de géographie et d’économie, passé au cours de sa longue carrière par le collège, le lycée et l’université, et aujourd’hui à deux ans de la retraite, Oleg Kobtzeff partage ce constat, et y ajoute la dimension graphique : « L’évolution est très visuelle : c’est l’écriture. Ce n’est pas tant l’orthographe qui est devenue catastrophique, que la capacité même à former des lettres. Il était de plus en plus difficile de lire leur écriture. En trente ans, on est passé d’écriture impeccable d’adulte, chez les étudiants en université, à une écriture comme on en voyait chez les élèves de sixième-cinquième – et encore, pas les meilleurs ».

Une capacité d’abstraction en berne

Sur le fond, il est un problème qui touche toutes les disciplines : la capacité d’abstraction semble s’amenuiser avec le temps. Constatant une baisse du niveau depuis les années 1990, Oleg Kobtzeff a remarqué dans sa discipline « une difficulté à se projeter dans le temps, une difficulté chronologique à se figurer la succession des époques ».

« Depuis que j’ai commencé, le niveau a considérablement baissé au point que j’ai dû revoir un certain nombre d’exercices que je ne peux plus donner aujourd’hui »

Élodie Weber, professeur de linguistique espagnole

Outre l’expression, c’est la compréhension qui est en jeu. Or, explique Élodie Weber, professeur depuis plus de vingt ans : « Depuis que j’ai commencé, le niveau a considérablement baissé au point que j’ai dû revoir un certain nombre d’exercices que je ne peux plus donner aujourd’hui ». Si elle avait l’habitude de donner à ses étudiants une analyse de texte théorique, elle a d’abord du amender son évaluation en guidant les élèves par des questions, avant de finalement supprimer l’exercice pour éviter l’hécatombe. Le constat est limpide : en plus de ne plus savoir s’exprimer et d’enchaîner les contresens sans même s’en rendre compte, les élèves « ne comprennent plus ce qui est conceptuel et abstrait ». Sans capacité d’abstraction, c’est par définition l’intelligence qui n’est plus. [...]

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École : sainte Bienveillance, priez pour nous

En 2012, la publication des résultats de l’enquête PISA (Program for International Student Assessment) désigne une fois de plus la France comme le cancre de l’OCDE, pointant à la 25e place sur 65 pays, avec un système éducatif renforçant les inégalités au lieu de les combattre. Inquiété par ce sombre constat, François Hollande, nouvellement élu président de la République, confie à Vincent Peillon, nouveau ministre de l’Éducation nationale, la responsabilité de redresser l’école française. Bien évidemment, le premier effort accompli pour soigner le malade consiste à inventer de nouveaux éléments de langage. Pour faire du passé table rase et refonder l’école, on invoque une nouvelle divinité : la bienveillance, qui doit « favoriser les apprentissages, le bien-être et l’épanouissement des élèves et de bonnes conditions de travail pour tous » (loi pour la refondation de l’école). En ce sens, cette loi de 2013 est un tournant historique autant que sémantique: pour la première fois, les textes définissent le « bien-être » comme une priorité de la politique publique en matière d’éducation.

La République est impuissante à soigner les maux de la société, qu’importe, c’est aux professeurs de promouvoir l’école de la diversité et de réparer le « vivre-ensemble »

Seul problème : en 60 ans, les effectifs de l’enseignement supérieur sont passés de 310 000 étudiants en 1960 à 2 600 000 en 2020 et 77 % d’une génération accède au baccalauréat en 2020 contre 10 % au début des années 1960. Dans un contexte économique dégradé et face aux insurmontables enjeux de l’intégration et de l’immigration de masse, ce système éducatif qui garantit un accès massif à l’enseignement secondaire et supérieur ne fait plus que refléter de manière criante les inégalités qu’il est censé résorber. Et sur qui repose l’objectif « de bien-être » ? Les enseignants. La République est impuissante à soigner les maux de la société, qu’importe, c’est aux professeurs de promouvoir l’école de la diversité et de réparer le « vivre-ensemble » dont les coutures craquent de toutes parts. […]

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[Enquête] Immigration et délinquance : les chiffres qui fâchent

« La France, ce n’est pas un coupe-gorge », déclarait le ministre de la justice Éric Dupond-Moretti en août 2020. Ne lui en déplaise, il n’est pourtant plus un jour en France sans sa litanie morbide et interminable de violences, d’agressions et de crimes en tout genre. Un fait divers qui se répète quotidiennement n’est plus par définition un fait divers, mais un véritable phénomène de société : l’insécurité est structurelle.

En 2021, le nombre d’homicides en France s’élève à 1 026. Comparée à ses voisins européens, la France se situait en 2018 dans la moyenne haute (1,16 tentative d’homicide pour 100 000 habitants, chiffre dont on sait qu’il est sous-évalué car les « agressions menant à la mort » ne sont pas prises en compte), loin devant ses voisins occidentaux (Italie à 0,57) et nordiques (Norvège à 0,47), mais dépassée par l’Europe de l’Est et des Balkans (Monténégro à 2,09). Pour mesurer cette flambée des violences, le criminologue Alain Bauer a créé un indicateur : « l’homicidité », qui réunit les règlements de comptes entre malfaiteurs, les homicides à l’occasion de vols, les autres homicides, mais aussi les tentatives d’homicides à l’occasion de vols et les autres tentatives d’homicides, ainsi que les coups et blessures volontaires suivis de mort et les homicides contre enfants de moins de 15 ans. Le total de ces faits, d’après les chiffres du service statistique du ministère de l’Intérieur, ne cesse de flamber depuis 2010 après une longue décrue : de moins de 2 000, il a atteint pour la troisième fois un niveau supérieur à 4 000 (4 209 en 2019, 4 472 en 2020 et 4 386 en 2021).

Il y aurait en France plus de 100 agressions par arme blanche par jour, et près d’une agression physique ou sexuelle toutes les 29 secondes

Et cette homicidité n’est que la face cachée d’une violence qui ne cesse de croître partout. Il y aurait en France plus de 100 agressions par arme blanche par jour, et près d’une agression physique ou sexuelle toutes les 29 secondes (qu’il y ait plainte ou non). Les atteintes aux personnes ont bondi de +12 % en 2021 pour s’établir à 306 700, soit une hausse de plus de 30 % depuis 2017. […]

Tombeau pour la vocation enseignante

Huit cent seize admissibles au CAPES externe de mathématiques pour 1035 postes à pourvoir. 720 pour 755 en lettres ou 83 pour 213 en allemand. Les chiffres de concours de recrutement pour l’année étonnent. On ne parle que des candidats ayant passé les examens écrits. Même si à l’issue des examens oraux tous les postes sont pourvus – et que le jury ne discrimine parmi les candidats aucun péquin jugé inapte à tenir une classe en se faisant respecter et comprendre d’un groupe d’adolescents – les chiffres sont bien deçà des besoins de recrutement de l’Éducation nationale. Pour remplir les classes, elles font feu de tout bois : job dating, recrutement via internet... On prend parfois le tout-venant.

Un salaire souvent jugé indécent

Le métier n’est pourtant pas sans avantages. Il offre une certaine souplesse dans l’organisation de son temps libre et de son travail – passés les 18 heures de service obligatoire – sans parler des fameuses vacances calquées sur celles des élèves. Comment expliquer cette crise des vocations ? Il y a d’abord le salaire. Malgré certaines revalorisations qui font un peu l’effet d’un cache-misère, les rémunérations sont souvent jugées indécentes. 1,3 fois le SMIC à bac +5 pour les débutants. Le salaire s’approche péniblement des 2500 euros en fin de carrière. Sans attendre d’hypothétiques revalorisations, beaucoup d’enseignants font d’ailleurs un travail d’appoint pour s’offrir un treizième mois : traduction, écriture, cours privés... [...]

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[Enquête] Combien coûte l’Éducation nationale ?

Avec 55,2 milliards d’euros, l’Éducation nationale représente le premier poste du budget de l’État. Il faut lui ajouter les 17,29 milliards d’euros du ministère de l’Enseignement supérieur, soit un total de 72,49 milliards d’euros, hors pensions, ce qui ne représente plus de 14 % des dépenses de l’État pour l’exercice 2022.

Le ministère de l’Éducation ne finance que des traitements de fonctionnaires. Ils représentent plus de 92 % de son budget. L’administration emploie 1,2 million de personnes, dont 726 800 enseignants dans le secteur public et 142 500 dans le secteur privé. Il paye aussi 274 000 agents au titre d’autres missions, dont 176 000 accompagnants d’élèves en situation de handicap et 92 000 professeurs qui ne donnent aucun cours. Il faut encore ajouter 11 000 agents n’étant pas en poste. Ces derniers ont des occupations plus ou moins bidons, ou tiennent des permanences syndicales, comme celles de Sud Éducation par exemple. 8 % des effectifs du ministère, soit 102 000 personnes, sont donc payés à ne pas travailler. Mais il reste beaucoup de choses à payer grâce à d’autres poches.

Le budget ne cesse d’augmenter alors que les effectifs des élèves ont baissé et les classements Pisa s’effondrent

Depuis la décentralisation, la dépense intérieure d’éducation (DIE) n’est pas le seul fait de l’État. Les collectivités, les familles, des entreprises et d’autres ministères y contribuent. Ainsi les régions payent les murs des lycées et les entretiennent. Les départements s’occupent des collèges et les communes traitent les écoles. Le rapport du Sénat sur le projet de loi de finance 2022 rappelait qu’en 2020 les collectivités ont représenté 22,4 % de la dépense d’éducation et apporté 14 milliards. Les familles ont dépensé 11 milliards et les entreprises 9. Au total, la dépense intérieure d’éducation de la France est de 160 milliards d’euros. Cela représente environ 7 % de notre PIB. Ce faisant, la dépense intérieure d’éducation française se situe légèrement au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE. On remarque toutefois que, par rapport à 1980, en euros constants, la DIE a doublé. La France dépense littéralement deux fois plus pour l’éducation qu’il y a 40 ans. Pourtant les effectifs des élèves ont baissé. Il y avait 13,1 millions d’élèves en 1980, pour 12,8 millions aujourd’hui. [...]

Le crépuscule de l’Europe, la trahison des clercs et le retour de l’enfant prodigue

Le 28 août 2022, le Gatestone Institute, International Policy Council, groupe de réflexion étasunien qui se consacre, selon sa propre présentation, « à l'éducation du public sur ce que les médias traditionnels omettent de promouvoir », a publié un long article de M. Giulio Meotti intitulé : « Le crépuscule de l’Europe : la Chrétienté décline, l’Islam s’élève ».

Cet article, très documenté, fait le point sur l’évolution sociologiquement inverse du christianisme et de l’islam en différents pays d’Europe, spécialement en France, en Allemagne et en Espagne. Il reprend en particulier dans cet article, pour notre pays, l’interrogation de Frédéric Saint Clair, s’interrogeant ainsi, dans les colonnes de L’Incorrect : d’ici 2100, « aurons-nous 10 000 mosquées pleines et 10 000 églises pratiquement vides ? » Le bilan de Meotti n’est pas exhaustif car il ne dit rien, en particulier, de la Grande-Bretagne, de l’Italie ni surtout du contre-exemple pourtant fortement instructif de la Hongrie. Il est cependant suffisamment significatif, notamment pour la France, de ce que chacun peut observer – pour peu qu’il ait conservé assez de liberté pour les garder ouverts.

Lire aussi : Les « servantes d’autel », la nouvelle lubie dans l’Église

La situation décrite, souvent rapportée à partir d’organes de presse, est d’une tristesse infinie pour un chrétien conscient, non seulement de la vérité salvifique de sa foi, mais aussi des immenses richesses que le christianisme a apportées à ce monde, et spécialement à cette vieille Europe qui a par ailleurs tant combattu pour que les ténèbres de l’islam et son oppression ne s’étendent pas sur elle.

Une apostasie généralisée

Ce bilan, dont nous donnerons ultérieurement la traduction, n’est pas uniquement sociologique ou statistique, ni même politique. Il est le miroir d’une apostasie généralisée. Celle-ci est premièrement due à l’activité criminelle de générations de politiciens qui ont sciemment promu et promeuvent toujours la généralisation de ce cancer en Europe, pour des motifs souvent misérables, il est vrai avec l’appui irresponsable d’autant de générations de citoyens qui les y ont encouragés ou diversement excusés.

Cette apostasie est due secondement, et essentiellement, à la trahison de nombreux clercs, et c’est sur ce point que nous voulons ici nous attarder. Leur manque de foi, leur lassitude du goût héroïque du « sel de la terre », leur frénésie à aspirer à pleins poumons l’esprit du monde, leur illusion à pouvoir le christianiser en le partageant, leur renoncement à promouvoir un espace public chrétien, leur propre détestation de la Chrétienté historique, voire leurs complicités ouvertes sous couvert d’œcuménisme, ont contribué à faire le lit de cette invasion politico-religieuse. Ils ont facilité et encouragé ses avancées patientes et résolues en des terres desséchées où l’Église n’avait plus, par leur faute, ni visibilité, ni autorité, ni crédibilité. [...]

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UNI Grenoble : « Les antifas sont indirectement subventionnés par nos impôts »

Que vous inspire ce délibéré ?

On est particulièrement déçus mais pas étonnés car l’on dénonce régulièrement le laxisme du système judiciaire. Quatre militants antifascistes peuvent mettre une femme en sang et n’être condamnés qu’à soixante-dix heures de TIG, ce qui équivaut à deux semaines de travail. En sachant que ce genre d’acte est passible 45 000 € d’amende et trois ans d’emprisonnement, il est évident que nous attendions un délibéré bien différent.

Quels faits étaient en cause dans ce jugement ?

Un soir du mois d’avril, je prenais un verre à Grenoble avec Hanane Mansouri, responsable des Jeunes Républicains de l’Isère et membre de l’UNI, et Maxime Marie-Tournel, lui aussi militant à LR et à l’UNI. Nous nous apercevons alors que dans le bar d’à côté se trouve une vingtaine de jeunes antifas, dont certains que nous reconnaissons, mais nous n’y prêtons pas attention. Puis à la fermeture, vers minuit, nous sortons et nous remarquons qu’eux aussi sortent de leur bar. Sur la vingtaine d’individus, seulement quelques-uns nous ont agressés. Six ont porté des coups mais seulement quatre ont été poursuivis. Les six en question enfilent alors des casquettes et des cagoules et nous menacent. Sur le coup, je sors mon téléphone pour les filmer en pensant les dissuader. De plus nous appelons la police simultanément mais cela ne fonctionne pas davantage. Nous avons tenté de fuir, mais ils nous ont rattrapés et roués de coups, en s’acharnant particulièrement sur Hanane.

[...]
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Lire Rushdie contre l’ire de l’Iran
Symbole de la liberté d’expression, Salman Rushdie coupe le monde en deux. Dans une grande partie de l’aire musulmane, singulièrement dans sa partie indo-iranienne, le romancier est vu comme un ennemi mortel, un impie, un athée, un apostat. En cause, ses fameux Versets sataniques. Selon Rushdie, Mahomet aurait prononcé un discours soufflé par Satan intitulé « sourate de l’Étoile », dans lequel il appelait à la réconciliation avec les païens arabes de son temps et leurs trois déesses préislamiques al-Lat, al-Uzza et Manât. Cet épisode rap- pelé par le grand historien sunnite du IXe siècle Tabari, sur lequel Salman Rushdie s’appuie dans son œuvre de fiction, ne figure pas dans le Coran actuel dont il a été ex- purgé. Si les questions du contexte coranique et des commentaires qui peuvent en être faits sont passionnants, elles ne nous intéressent au fond que peu dans le cas qui nous occupe. L’œuvre de Salman Rushdie, qu’on l’estime appartenir à la grande littérature ou pas, a été jugée suffisamment irrévérencieuse et menaçante pour s’attirer les foudres de la quasi-totalité du monde musulman, l’Iran par l’intermédiaire de l’ayatollah Khomeiny qui le condamna à mort en 1989, symbole du rôle l’ancienne Perse dans la résurgence du djihadisme des quarante dernières années. […]
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L’Incorrect numéro 73

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