C'est une scène désormais banale dans le milieu universitaire, qu’on se contente de filmer à l’abri de son smartphone, et que les médias relayent discrètement dans un entrefilet: le 17 octobre dernier, à la faculté de Nanterre, en pleine élection universitaire, un groupe d’étudiants qui tractaient pour la Cocarde a été violemment attaqué par des « miliciens » de l’extrême gauche, comme on les appelle désormais. Le modus operandi est toujours le même et obéit aux règles du combat de rue : une attaque éclair, souvent déployée en quelques secondes, par un groupe qui s’assure toujours d’être supérieur en nombre. [...]
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