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Boualem Sansal : « En Algérie, la volonté de comprendre a mené à 300 000 morts. » 1/2

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Publié le

8 octobre 2018

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Après le succès de 2084, l’écrivain algérien nous offre une nouvelle méditation littéraire autour de l’islamisme : Le Train d’Erlingen. Cet humaniste laïc qui ne cesse de mettre en garde contre le fléau islamiste et de dénoncer la lâcheté des gouvernants, menacé, isolé, scandaleux, a paradoxalement quelque chose d’un prophète de l’Ancien Testament. Rencontre avec une conscience héroïque. Votre livre a comme événement fondateur l’attentat du 13 novembre 2015. Comment l’avez-vous vécu, personnellement, cet événement ? Je l’ai vécu de manière dramatique parce que je vis dans un pays où on a connu un 13 novembre. On a pensé qu’il n’y en aurait qu’un seul mais il y en a eu des centaines, et si la guerre s’est localisée dans certains endroits, elle a néanmoins touché tout le pays et toutes les familles. Le 13 novembre n’est pas seulement un attentat terroriste, c’est le premier véritable acte de guerre. Et ce n’est pas fini, parce que ce genre de guerres se poursuivent, n’en finissent jamais, changent de forme, deviennent des (.....) Lisez la suite de cet article dans le dernier numéro de L'incorrect, disponible en kiosque et par abonnement!
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