Elle ne compte même plus 5000 âmes. Un vrai havre de paix, paisible, exemplaire, pourrait-on imaginer. Et pourtant, depuis douze ans maintenant, Munster est administré par une clique habitée des plus grands idéaux gauchistes : accueil massif et aveugle de populations étrangères non-communautaires, écologie radicale, allergie à toute forme d’autorité ou de fermeté régalienne. Certes, en 2008 cette fine équipe se camouflait derrière l’étendard de la nouveauté pour prendre la suite du regretté maire d’alors aux responsabilités municipales. Mais dès 2014, la nouveauté a cédé la place à la médiocrité : réélection acquise chichement, face à une opposition faiblarde. En 2020, rebelote avec une victoire contre une liste adverse fixée sur son absence de chances de victoire avant même le scrutin. Le tout agrémenté d’une sauce Covid-19 qui engendre une abstention battant tous les records.
Munster est administré par une clique habitée des plus grands idéaux gauchistes : accueil massif et aveugle de populations étrangères non-communautaires, écologie radicale, allergie à toute forme d’autorité ou de fermeté régalienne
Et le maire doublement réélu de clamer haut et fort « vouloir travailler avec toutes les bonnes volontés, exception faite du RN et assimilés ». Tiens donc. Gageons dès lors que les objectifs de la majorité n’auront rien pour déplaire aux dogmes gauchistes. Ces derniers mois, voilà qu’ont fleuri sur plusieurs murs de la ville des tags « ACAB », parfois très visibles. Rien à ce jour n’a été fait pour éliminer ces affronts aux forces de l’ordre, les agents communaux n’ayant manifestement jamais reçu de consignes adéquates. Ce bras d’honneur adressé aux gendarmes locaux demeure cohérent avec l’idéologie d’ensemble : pourquoi effacerait-on ces graffitis odieux ? [...]
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