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Ces actrices féministes qui montrent leur cul à tous les passants

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Publié le

2 mars 2020

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Ah, c’est reparti ! Le féministe circus ! Dix représentations par jour ! Pour l’occasion, Polanski a été nommé nouveau représentant officiel des hommes, ce grand syndicat des dégoûtants. Mais tout cela est-il bien cohérent ? Parce que….franchement ! Bien que les violeurs et les pédophiles m’inspirent beaucoup moins de compassion que cette araignée noire, velue, oeillue, qui me court devant le nez, et que je vais écraser comme un sale spéciste sans penser aux beaux discours de Badinter et d’Aymeric Caron, je m’interroge sur la vertu outragée de toutes ces actrices.

 

 

Un jour, regardant La Grande Vadrouille devant ma télé couleur, j’exhortais Bourvil à enfin embrasser Marie Dubois au lieu de jouer avec sa casquette. Ma grand-mère me coupa : « Ah non, il ne va pas l’embrasser sur la bouche. Pas Bourvil. À l’époque ça ne se faisait pas ». Et effectivement Bourvil n’a jamais embrassé une dame au cinéma comme Claude Gensac n’a jamais embrassé son éternel mari virtuel, l’immense Louis de Funès, malgré 15 millions de fiévreux « ma biche ».

Mais maintenant au cinéma : ah bah, tout le monde s’embrasse, se pourliche, se paloche là-dedans. Et le cul ! Le moindre film, c’est 36 enculades avant de savoir qui est l’assassin. Non, mais oh ! Où est la différence entre louer le corps d’une putain pour de 150 balles et faire rouler des patins à une actrice, la foutre à poil, lui coller Brad Pitt ou Guillaume Canet entre les cuisses le tout pour 150 000 euros ?

Marion Cotillard a beau être mieux que Kevina la boulangère de Plémet (22), quand tu vas au cinéma, au moins ta Kevina, tu ne la vois pas rouler des pelles et se faire grimper dessus par tous tes potes.

Alors, bien sûr que tout cela c’est du cinéma et que la plupart des scènes cochonnes sont jouées par d’autres actrices. Mais enfin quoi ! Si Adèle Haenel ne veut pas montrer son popotin en train de se faire ramoner par le Clark Gabble du moment, on payera une tâcheronne de film porno pour montrer le sien à sa place. Qu’est-ce au final ce cinéma, sinon de la prostitution gesticulée ?

« Non c’est non ! » « Mon corps c’est mon corps ! » Là, on a bien compris le message. Mais si quelqu’un, pour le succès du film, peut lécher le biniou au vieux cochon dans la scène 26 pour un millième de mon salaire, ça m’arrange. Et vive la grande famille du cinéma et ses différentes classes sociales !

 

 

Et puis franchement, pour être le conjoint d’un acteur ou d’une actrice de cinéma faut pas être dégoûté. Parce que Marion Cotillard a beau être mieux que Kevina la boulangère de Plémet (22), quand tu vas au cinéma, au moins ta Kevina, tu ne la vois pas rouler des pelles et se faire grimper dessus par tous tes potes. Même semi-virtuellement.

Ces jeunes actrices néo-féministes se posent en vierges Marie mais franchement, moi, le cul d’Adjani je le connais quasiment mieux que celui de ma femme tellement on l’a vu sur tous les plans dans la plupart de ses films. Et je parierais bien tout le capital social de L’Incorrect contre un billet de Tacotac que la plupart de nos starlettes néo-fém d’aujourd’hui auront abondamment montré leurs lolos et roulé de la langue à tout l’Actors Studio avant que Polanski rejoigne le paradis des vieux cochons.

 

Lire aussi : Les Césars 2020 : Quand le cinéma français fait son cinéma 

 

Alors, autant il faut condamner leurs violeurs parce que violer est un crime, autant on peut conseiller à toutes ces jeunes filles de s’interroger sur le rapport au sexe et au charnel dans leur métier. Rapport qu’elles cautionnent comme leurs collègues masculins. En fait, le jour où une actrice ou un acteur refusera de faire des scènes coquines ou d’embrasser son partenaire, tout simplement parce que « ça ne se fait pas », ce petit cirque féministe en tryphoncolor aura enfin trouvé une certaine cohérence.

 

 

Maël Pellan 

 

 

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