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Ces pédophiles qui continuent la « lutte » : révélations

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Publié le

14 janvier 2020

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L’affaire Matzneff, ou, selon où on se situe, l’affaire Springora, a eu l’effet d’une loupe grossissante sur la pédophilie militante qui avait cours en France du mitan des années 1960 à celui des années 1980 à peu près. Tous ces pédophiles dits « abolitionnistes », compagnons de route des luttes de la « libération sexuelle », ont-ils pour autant disparu ? Non. Une simple recherche sur Google suffira d’ailleurs à s’en convaincre. Révélations.

 

 

 

Interrogé sur la crise iranienne, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, Bernard Kouchner a dû répondre à une question sur l’affaire Matzneff. Aussi menteur et gonflé que d’habitude, le plus tout jeune premier de la Mitterrandie a d’abord tenté de s’en sortir en affirmant qu’il avait toujours dit que l’écrivain était un « salopard » (probablement moins que lui et jamais Kouchner n’aurait pu faire au monde le legs du Défi, mais passons), et même qu’il l’avait écrit ! De fait, Bernard Kouchner a bien « écrit » quelque chose : sa signature au bas d’une pétition prenant la défense d’adultes accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des enfants. Jack Lang lui aurait forcé la main ; qu’on l’arrête à la sortie s’il ment !

Le journal Libération était au cœur de ce système. Les pédophiles y avaient colonnes ouvertes, y passant des petites annonces pour rencontrer des enfants ou des adolescents. Pis, la rédaction hébergea même un temps un pédocriminel notoire qui n’a jamais eu à faire l’effort de cacher ses mœurs perverses, suscitant même l’hilarité durant les soirées libertaires de bouclage.

À la décharge du saint pourvoyeur de l’excellent riz basmati, avec chemise ouverte sur torse velu et bronzé si possible, il y avait bien un climat délétère dans une partie de la gauche en France comme à l’étranger en 1977. Le journal Libération était au cœur de ce système. Les pédophiles y avaient colonnes ouvertes, y passant des petites annonces pour rencontrer des enfants ou des adolescents. Pis, la rédaction hébergea même un temps un pédocriminel notoire qui n’a jamais eu à faire l’effort de cacher ses mœurs perverses, suscitant même l’hilarité durant les soirées libertaires de bouclage. Son nom : Christian Hennion. Sa sordide histoire est racontée par l’une de ses victimes ; le journaliste et écrivain Franck Demules.

 

Lire aussi : Matzneff : naufrage de la république des lettres

 

Orphelin de père vivant dans une communauté maoïste à l’âge de 10 ans, avec une mère droguée incapable de correctement s’en occuper, Franck Demules a été le « protégé » de Christian Hennion qui tenta même de l’adopter. Ami de plusieurs juges, probablement rouges, qu’il côtoyait dans son travail de chroniqueur judiciaire observateur des « flagrants délits », Christian Hennion put même arracher l’enfant à sa mère qui avait, quelques années plus tard, pris conscience de son erreur : « L’avocat de la mère avait plaidé que c’était scandaleux de donner la tutelle à un homo, en parlant de Christian. Ça, par contre, ça avait choqué tout Libé. On était complètement irresponsables à l’époque ».

C’est cette nouvelle éducation qui irrigue l’ensemble de l’œuvre du romancier pédophile Tony Duvert, prix Médicis en 1973 pour Paysage de fantaisie. L’homme dénonçait le « besoin féminin de pouvoir sur l’enfant » et l’« hétérocratie », soit le totalitarisme, non pas du prolétariat mais des hétérosexuels.

Arracher les enfants aux mères qui leur donnent la vie était une obsession des temps jamais dissipée depuis. C’est cette nouvelle éducation qui irrigue l’ensemble de l’œuvre du romancier pédophile Tony Duvert, prix Médicis en 1973 pour Paysage de fantaisie. L’homme dénonçait le « besoin féminin de pouvoir sur l’enfant » et l’« hétérocratie », soit le totalitarisme, non pas du prolétariat mais des hétérosexuels. De quoi justifier un désir d’enfants … au sens propre. À tel point qu’il finit même par se disputer avec Roland Barthes, autrefois son proche.

Ont-ils disparu ? Point du tout, ils n’ont jamais été aussi forts. Mieux, personne ne leur résiste depuis trente ans. Ils ont gagné sur tous les tableaux.

S’il n’y a pas qu’une différence de degré entre les conséquences de la fin de l’hétérocratie telles que les entrevoie Tony Duvert et telles que les entrevoient les militants LGBT contemporains, un temps compagnon de luttes des pédophiles, avant de finir par être chassés des mouvements, il y a bien une même idée : que l’hétérosexualité ne soit plus la norme sociale. De cette idée, d’aucuns ont par la suite déduit que la famille traditionnelle, soit celle qui est fertile naturellement, n’était plus le socle sur lequel la société devait se reposer. Ont-ils disparu ? Point du tout, ils n’ont jamais été aussi forts. Mieux, personne ne leur résiste depuis trente ans. Ils ont gagné sur tous les tableaux. Quant aux pédophiles, eux vaincus, ils ne désarment pas pour autant dans leur combat visant à faire de l’enfant un être sexué et capable de consentir à une relation amoureuse de la même manière qu’un adulte.

 

Lire aussi : Menu enfant

 

En cherchant plus avant des renseignements sur Tony Duvert, on découvrira d’ailleurs un site ouvertement propagandiste de la légalisation de la pédophilie, apologiste des théoriciens de la prédation d’enfants. Il s’agit de « boywiki », une page qui a les apparences d’une page wikipedia classique, dont la présentation ne fait pourtant pas mystère des intentions sous couvert d’intellectualisme bon marché :

« Boywiki offre aux personnes qui s’intéressent à l’amour des garçons une importante possibilité d’enregistrer et de pérenniser l’histoire et la culture relatives à cette orientation amoureuse. Le site est ouvert aux chercheurs, aux créateurs, aux hommes aimant les garçons, et en général à toute personne souhaitant aborder ce sujet avec honnêteté, modération et objectivité »

Apparaît même sur la page de garde le triangle bleu qui permet aux pédophiles attirés par les petits garçons de se reconnaître et qui apparaissait autrefois dans les manifestations en faveur de la libération sexuelle, ainsi qu’un dessin représentant des écoliers des temps jadis.

Qu’en termes pudiques ces choses-là sont dites ! Apparaît même sur la page de garde le triangle bleu qui permet aux pédophiles attirés par les petits garçons de se reconnaître et qui apparaissait autrefois dans les manifestations en faveur de la libération sexuelle, ainsi qu’un dessin représentant des écoliers des temps jadis. La boucle est bouclée.

 

 

Gabriel Robin

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