S’ils passaient pour atypiques dans les années 90, Emmanuel Mouret et sa version godiche de la carte du tendre sont devenus intolérables aujourd’hui. Bruissant de logorrhées précautionneuses en plein Paris covidé, Chronique d’une liaison passagère met en scène un couple adultérin désuni par l’irruption d’une troisième larronne. Censée être tendre et cruelle, cette réflexion sur le désir par temps de triolisme n’est évidemment rien de tout ça, et la parole du réalisateur français renvoie plus au miroir (Allen) qu’au masque (Rohmer). [...]
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