En gros, c’est la bourgeoisie telle qu’elle se rêve, sensible, ouverte, prête à partager avec le spectateur – non pas son patrimoine, il ne faut pas exagérer – mais du moins la compassion. Dans son deuxième navet de rentrée, Efira incarne une professeure en lycée technique qui vit mal l’heure qu’indique son horloge biologique.
Juive amoureuse d’un Arabe ayant eu une fille avec une Française (jackpot pour palper les subventions du CNC au nom de la diversité), elle s’interroge sur le bien-fondé d’une grossesse à venir, la faute à un trauma maternel. On voit bien ce que tente Rebecca Zlotowski : une comédie sentimentale à l’américaine qui serait poreuse à la douleur des femmes.
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