On se demande pourquoi Christine Angot ne l’a pas fait avant : transcrire sur le grand écran tout son gourbi névrotique et autofictionnel, tant le cinéma, art de propagande s’il en est, semble conçu aussi pour cela : célébrer le narcissisme. Si l’inceste dont elle a été la victime a brisé sa vie, il a […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !