Le vin est la seule boisson qui a toujours marché sur deux jambes : l’élite et le peuple. Il y a le vin des grands crus, des châteaux, des climats réputés et confidentiels; vin de fête, dont on ne remonte la bouteille de la cave que pour les grandes occasions. Et il y a le vin populaire, boisson courante et quotidienne, qui se décline en canon, pot et cuvée du patron. La force du vin est d’avoir coagulé autour de lui toutes les couches sociales et d’avoir été un langage commun à l’élite comme aux humbles. Mais il faut constater qu’hélas la partie populaire du vin est en train de s’étioler. [...]
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