Skip to content

Constance Courson : « Le bureau des pleurniches, c’est pas mon truc »

Par

Publié le

3 janvier 2024

Partage

Il n’est pas encore trop tard pour alerter nos lecteurs : l’une des révélations de cette rentrée littéraire est le premier roman de Constance Courson. Avec ses phrases longues et syncopées pour porter une dérive beatnik sur la côte ouest de l’hexagone, celle qui risque son corps en vue de devenir écrivain a brillamment relevé le défi, comme en témoigne ce bref roman au grand souffle, à la fois ciselé, enlevé et caustique. À rebours des autrices de confessions victimaires, voici enfin une femme qui en a. Du style, évidemment, et du chien.
© Unsplash
La posture adoptée dans votre livre, consistant à aller chercher l’épreuve pour écrire, n’est-elle pas à rebours de la mode actuelle ? Pas de posture. Le corps ne ment pas. Pour que la parole se fasse chair, l’écrivain doit-il le risquer, ce corps ? Eh bien, c’est ce que disait Williams Burroughs : l’écrivain doit […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

EN KIOSQUE

Découvrez le numéro du mois - 6,90€

Soutenez l’incorrect

faites un don et défiscalisez !

En passant par notre partenaire

Credofunding, vous pouvez obtenir une

réduction d’impôts de 66% du montant de

votre don.

Retrouvez l’incorrect sur les réseaux sociaux

Les autres articles recommandés pour vous​

Restez informé, inscrivez-vous à notre Newsletter

Pin It on Pinterest