La Coupe du monde de foot féminin, organisée par l’Australie et en la Nouvelle-Zélande, commence le 20 juillet prochain mais n’a toujours pas trouvé de diffuseur dans plusieurs pays d’Europe et notamment en France – même si un accord avec M6 et France Télévisions semble se profiler. Une situation qui a inquiété au plus haut niveau puisque début juin, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra et quatre de ses homologues européens publiaient un communiqué pour demander à la FIFA et aux diffuseurs de trouver une solution. « En raison du fort potentiel de cette compétition et des enjeux sportifs et sociétaux qui s’y rattachent, nous considérons qu’il est de notre devoir de mobiliser pleinement toutes les parties prenantes afin qu’elles parviennent à trouver rapidement un arrangement. »
Il existe évidemment un problème d’horaires. « Ce sont les pires créneaux horaires pour les diffuseurs européens et français, en particulier » juge Vincent Chaudel, le cofondateur de l’Observatoire du sport business. De plus la période de diffusion (juillet-août) est une période particulièrement creuse au niveau de l’audience. Mais le mal est bien plus profond. [...]
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