Il s’est passé un truc ce week-end ? Je sais pas, je vois que ça s’agite sur les très saints réseaux sociaux ce matin. Moi j’y entrave dalle que, je rentre de deux jours dans une grotte à m’envoyer des tractions de tricératops, à te faire suer le major Gérald rien qu’en entendant au loin les grognements qu’elles m’arrachent. D’ailleurs il a envahi mes DM d’excuses pour son physique de lâche et de demandes de coaching personnalisé.
Bon, assez de choses sérieuses, parlons-en de ces futilités électorales. Mon premier argument sera contre ceux qui minimisent. Boh ça va, 42 % pour l’extrême droite, si on m’avait dit ça il y a dix ans… Avant de répondre sur le fond politique, je voudrais m’exprimer en termes psychologiques : dont provient ce besoin de maquiller une défaite cuisante en demi-victoire ? Autrement dit, pourquoi une telle aversion à la souffrance ? Après avoir perdu, la douleur nous travaille les entrailles. Il ne s’agit pas ici d’un constat mais d’un devoir.
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