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LE DERNIER ÉCRIVAIN MAUDIT

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© Benjamin de Diesbach pour L’Incorrect
Le Journal de Richard Millet est comme un roman de Richard Millet, non parce que sa vie est un roman, mais parce que Richard Millet n’est pas un homme : c’est un écrivain. Tout son journal parle de cette « maudissure », selon son expression de patois limousin, sensible dès le premier tome (1971-1994, alors qu’il a 18 ans) et qui le poursuit : une incapacité à être dans la vie, parce qu’il est entièrement enseveli dans la langue, et dans la musique, autre langage. Cesar Pavese a écrit le Métier de vivre ; il s’est suicidé. Quant à Richard Millet, il est aussi hanté par la mort et voué à une solitude existentielle. [...] Retrouvez cet article dans le dernier numéro de L'Incorrect et en ligne pour les abonnés.
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