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Bastion social : le fond de l’air est rouge-brun

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19 juillet 2018

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bastion couv
[Cet article sur le «Bastion social » paru dans le numéro de juillet-août, nous a valu un vaste courrier, de très nombreuses réactions sur internet et les réseaux sociaux, parmi lesquelles un nombre non négligeables d’insultes et de menaces, provenant particulièrement des membres du Bastion social et de leur entourage. Il va sans dire que nous ne retirons rien du fond de l’analyse que nous avons menée ici, et qu’on ne nous fera pas taire. Nous avons cependant corrigé une erreur factuelle sur CasaPound, à la demande de ses dirigeants. Nous avons par ailleurs proposé aux différents meneurs de ces mouvements de se défendre à travers une tribune que nous publierions sur notre site. Ils en ont accepté le principe, mais sans y donner une suite concrète pour le moment. Ils savent pourtant que nos pages leurs sont ouvertes, de même que nous restons disponibles pour le débat, tant qu’il se déroule dans le respect de la politesse commune. Il serait en effet de bon aloi que la droite française sorte enfin de ses réactions pubescentes et tente de réfléchir sur ses défauts et ses erreurs. Jacques de Guillebon, directeur de la rédaction ] Depuis quelque temps, la Macronie a peur. Ou tente de le faire croire. Depuis que le GUD a explosé en vol pour accoucher du « Bastion Social », le danger fasciste serait à nos portes. En réalité, l’ultra-droite, bête noire des services de renseignement intérieur et épouvantail du gouvernement, tente un ultime ressaut pour sortir de son ghetto en singeant l’aventure italienne de la CasaPound. Et c’est notamment sur ce point précis que le bât blesse. Un acte de naissance chaotique Dans la capitale des Gaules, c’est la panique en ce mardi 13 juin 2017. L’ambiance est électrique dans le quartier chic de la presqu’île de Lyon. La présence massive de forces de l’ordre pourrait faire penser à une opération anti-terroriste. En fait, il n’en est rien. La police est à pied d’œuvre pour faire expulser un bâtiment désaffecté situé au 18, rue Port du Temple dans le IIe arrondissement. Autrefois composé de logements de fonction d’EDF, ce bâtiment était vacant depuis 30 ans et venait d’être récupéré par la ville. À l’intérieur, il n’y a que huit personnes. Qui sont-ils ? Non pas des zadistes ni des preneurs d’otages mais des militants du [...] Suite à lire dans le dernier l'Incorrect et en ligne pour les abonnés.
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