Les jeunes coupent le cordon : troisième partie du débat 
Guilhem Carayon (Les Républicains), Stanislas Rigault (Reconquête !) et Pierre-Romain Thionnet (Rassemblement national) militent dans des écuries différentes. Pourtant, bien malin serait celui qui parviendrait à distinguer leurs positionnements politiques. L’Incorrect a décidé de réunir ces trois jeunes mousquetaires de la droite pour balayer les grands sujets du moment et éprouver l’étendue de leur compatibilité. Entretien à fleurets mouchetés. Partie 3 sur 3.
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Sur le plan plus politique, le clivage droite-gauche a-t-il encore un sens pour vous ?
Pierre-Romain Thionnet : Le clivage droite-gauche n’est plus celui qui permet de comprendre le paysage politique. Il existe, mais il n’est plus essentiel ni pertinent politiquement et stratégiquement. On peut prendre tout un tas de thématiques et on verra qu’il est impossible de classer les gens à gauche ou à droite. Et surtout au-delà de la question de savoir qui est à droite ou à gauche, mon adversaire politique, c’est le macronisme.
Guilhem Carayon : Le clivage droite-gauche est ancien et vivant. Il n’est plus le seul. S’y ajoute selon moi un clivage entre ceux qui ont fait un trait sur l’histoire de France et ceux qui pensent que la défense et la promotion des intérêts nationaux sont bien la ligne de conduite de tous les États responsables et des nations qui respectent leur histoire.
Stanislas Rigault : C’est le grand pari des Républicains depuis bientôt dix ans. [...]
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