[Opéra] Le Turandot de Pappano : quasi–référence 
Le Turandot d'Antonio Pappano est une pure réussite en tous points, et deviendra à n'en pas douter une version incontournable.
Partage

Une équipe de luxe autour de Jonas Kaufmann : voici une constante des intégrales d’opéra qu’Antonio Pappano a gravées, ces dernières années, avec « son » Orchestre de Sainte Cécile, à Rome. Hier Aida, Otello. Aujourd’hui Turandot. Dissimulant son déclin, le ténor allemand se donne des allures de prince postmoderne, à la vaillance tempérée par une sensualité rêveuse. L’intention se cache dans le soin des demi-teintes, gage de quelques moments d’extase. Mais ailleurs (y compris dans le célèbre « Nessun dorma ») l’éclat du timbre fait cruellement défaut, vouant à l’échec toute comparaison avec les géants du passé (Corelli en tête). Pour le reste – hormis un Michael Spyres fade en vieil empereur – c’est une pure réussite. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Partage
Aidez L’Incorrect, faites un don et défiscalisez !
En passant par notre partenaire Credofunding, vous pouvez obtenir une réduction d’impôts de 66% du montant de votre don.
Choisissez le don en ligne en réglant par carte bancaire ou par virement avec le lien ci-dessous ou par chèque, à l’ordre de Fonds de Dotation CredoFunding, à l’adresse suivante :
Fonds de Dotation CredoFunding – L’Incorrect
41 rue Laure Diebold
69 009 LYON