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Sélectron : les candidats préférés des islamistes

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Publié le

25 juin 2021

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A la veille du second tour des élections régionales, l’islamisme semble encore avoir de beaux jours devant lui grâce à l’accointance de personnalités politiques de tous bords. Concitoyens islamistes, mobilisez-vous ! Florilège.
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6. Union des gauches en Eure et Loire : On pouvait retrouver dans les rangs de la gauche écologiste Abdelaziz Hafidi, auteur de posts Facebook à caractère islamiste et antisémite, jusqu’à ce qu’un internaute déclenche la polémique et provoque le retrait de cette candidature. « Un nouveau souffle » ?

5. Laurent Wauquiez : Sur ses listes, Damien Abad, député LR de l’Ain, qui a dénoncé l’existence « de courants islamogauchistes puissants au sein de l’enseignement supérieur » ne veut pas pour autant « stigmatiser » l’association islamiste Mili Gorus. Selon lui « beaucoup de ses membres sont investis dans la vie économique du territoire, et associés aux valeurs de la République ». 

Lire aussi : Sélectron : florilège des thèses intersectionnelles

Pierre Bédier, soutien de Wauquiez, président du conseil départemental des Yvelines et président de la Fédérations Républicains des Yvelines reconnait être l’« ami » de Mohamed Rabiti fondateur de la mosquée Othmane Ibn Affane de Mantes-La-Jolie, imam  proche des courants salafistes. L’imam a même été employé comme médiateur à la mairie. Ses connivences avec l’islam radicale ont été révélées par Marianne et le Canard Enchaîné tandis que l’opposition dénonçait un « système » d’influence dans toute la région.

4. Renaud Muselier : Le président sortant de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur avait envoyé un de ses élus pour le représenter à la « Rencontre annuelle des musulmans du sud » à Marseille, haut lieu de propagande de l’UOIF et des Frères musulmans. Parmi les invités, on retrouve l’imam frériste Omar Dourmane, Ahmed Jaballah, cofondateur de l’UOIF ou encore Abdelmonaim Boussenna, très influent sur les réseaux sociaux et présenté comme salafiste par la police. 

Le Président de la région a reçu l’ambassadeur du Qatar alors même que l’influence de cet état dans l’implantation de l’islam radicale en France posait question suite aux révélations de plusieurs journalistes.

Christian Estrosi qui a été élu à la tête de la région en 2015 avant de laisser sa place à Renaud Muselier s’est aussi illustré par sa proximité avec l’islam radicale. Il estimait en 2013 que l’islam et la démocratie étaient « incompatibles » mais cela ne lui a pas empêché d’offrir des tarifs préférentiels pour la construction de mosquées sur son territoire, il est proche de l’UOIF depuis 2006, association qu’il a subventionné à hauteur de 3 000 euros. [...]

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