Syrie : valse avec Bachar 
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La realpolitik serait-elle de retour? En la matière, Emmanuel Macron semble avoir pris le taureau par les cornes et avoir renversé la vapeur, après le mandat calamiteux de François Hollande. Son implication mesurée dans le dossier syrien en témoigne.
« Khrouchtchev, au moins, il est drôle. » C’est en ces termes curieux que le général de Gaulle évoquait le dirigeant soviétique lors d’une visite de l’exprésident Eisenhower à l’Élysée. En 1962, pourtant, le Secrétaire général du Parti Communiste d’Union Sovié- tique était le diable. Certes, ce n’était pas Staline (avec qui pourtant tous les Alliés parlèrent à partir de 1941), mais pour le Général, la politique devant s’accommoder des réalités, il était de toute façon indispensable de parler avec les dirigeants soviétiques.
Après sept ans de conflit syrien, véritable casse-tête pour les analystes en même temps que vaste cimetière des prophéties, injonctions et surtout gesticulations françaises, Emmanuel Macron a jeté un pavé dans la mare des néoconservateurs français. « Le vrai aggiornamento que j’ai fait sur ce sujet, c’est que je n’ai pas (...)
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