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Telford : la tyrannie « antiraciste » a mené à la « traite des blanches »

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Publié le

18 mars 2018

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TELFORD

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La « traite des Blanches » est un phénomène ancien qu’on croyait disparu avec la fin de l’Empire Ottoman, puis en raison du déclin de l’ignoble commerce transatlantique de femmes européennes. Du moins, pour ce qui concernait l’Europe occidentale, les malheureuses femmes de l’Est et les jeunes filles roms étant toujours vendues pour être prostituées sur tout le territoire de l’Union européenne. Mais voici que ressurgit un ignoble trafic de jeunes filles violées et prostituées en Angleterre, aujourd’hui sous nos yeux et dans l’indifférence générale. Cette nouvelle traite des blanches est le fait d’une immigration pakistanaise agissant en bande organisée. Récit.

 

Peu commentées, les affaires de Rotherham et de Telford s’étalent sur plusieurs décennies, concernent des milliers de victimes innocentes et des centaines de criminels répugnants, majoritairement des musulmans issus du Pakistan et du Bangladesh. On estime que plus de 4000 jeunes britanniques ont été abusées dans l’indifférence générale entre le début des années 1980 et nos jours, dans la ville de Telford (Shropshire). Certaines d’entre elles ont été prostituées, d’autres torturées et violées, parfois tuées avec d’autres membres de leurs familles pour éviter qu’elles n’avertissent les autorités sur leur triste sort.  Des centaines d’hommes immigrés ont donc profité des failles du système anglais pour assouvir leurs pulsions les plus malsaines, mais aussi, probablement, combler les frustrations sexuelles nées d’une culture rigide et étouffante.

Des centaines d’hommes immigrés ont donc profité des failles du système anglais pour assouvir leurs pulsions les plus malsaines, mais aussi, probablement, combler les frustrations sexuelles nées d’une culture rigide et étouffante.

Comme à Rotherham, cas presque similaire, les travailleurs sociaux avaient pris connaissance des actes commis à Telford plus d’une décennie avant qu’une enquête ne soit lancée, et près de deux décennies avant que les faits ne soient rendus publics. Pourquoi ? Pourquoi fermer les yeux sur des crimes sexuels d’une telle ampleur ? Comment le Royaume-Uni a-t-il pu abandonner son peuple aux prédateurs venus d’ailleurs, alors qu’il était très facile d’appréhender les coupables ? Par peur du « racisme » ?

 

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L’« antiracisme » poussé à son paroxysme a donc tué. Il tuera aussi demain. À plusieurs reprises, la police a refusé d’enquêter, malgré des centaines de cas signalés. Pis, les autorités ont effectué un travail de sape pour empêcher les travailleurs sociaux et les victimes de pourchasser les bourreaux d’enfants pakistanais et bengalis. Il ne fallait pas générer un scandale en stigmatisant une population extra-européenne irréprochable. Dans la ville de Rotherham, une des personnes chargées de l’enquête a même dû suivre des « cours de sensibilisation à la diversité », pour avoir simplement dit la vérité sur l’ethnie des violeurs.

Surtout ne rien dire qui puisse fissurer le mur du mensonge du multiculturalisme heureux, du bonheur à plusieurs qu’est le « vivre ensemble ».

Surtout ne rien dire qui puisse fissurer le mur du mensonge du multiculturalisme heureux, du bonheur à plusieurs qu’est le « vivre ensemble ». On se souviendra d’ailleurs que l’inénarrable Caroline De Haas avait twitté, peu après les évènements de la soirée du réveillon 2016 dans la ville de Cologne : « Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée des migrants : allez déverser votre merde raciste ailleurs ». Avec de telles féministes aveugles, des pouvoirs publics suffisamment stupides pour flatter toutes les manifestations communautaires les plus rétrogrades, et une opinion publique anesthésiée par le politiquement correct le plus crasse, il est à prévoir que des cas comme ceux de Telford ou Roterham ne sont que les premiers d’une longue série.

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