Le premier plan du film résume l’ambition à la fois formelle et narrative de Schrader : un gros plan sur un tapis vert, tellement rapproché qu’on pourrait le prendre pour un jardin vu du ciel. On l’a compris, tout dans The Card Counter sera une question de distance, de « prise de vue ». Le Mal est-il encore du Mal si l’on regarde de près, si on l’expérimente de l’intérieur ? [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !