
Culture


Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

À force de s’être habitué aux jérémiades des déconstructeurs, aux clabaudages des néo-fem et aux pleurnicheries vindicatives des agressé.e.s de tout poil, on en aurait oublié que l’amour, le romantisme, les relations hétéronormées, c’est encore quelque chose. On peut même – sublime pied de nez – en faire des films, sur un mode aussi ringard que celui de la comédie romantique, ce genre qui a connu ses heures de gloire avec la screwball comedy (Hawks, Capra) et qui a fini par se vautrer dans la vulgarité des eighties comme une dinde de Noël fourrée au Xanax (Pretty Woman).
Lire aussi : L’Amour ouf : la résurrection du grand cinéma populaire français
Ce mois-ci, deux films ont l’insolence d’évoquer des coups de foudre chez les cisgenres, et surtout sans « essentialiser » le mâle en l’assimilant à un agresseur/pervers narcissique/pélicoteur sans vergogne. Et oui, dans Un Hiver à Sokcho et dans Jane Austen a gâché ma vie, l’homme est encore séduisant, rassurant – voire bienveillant.…

Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

On fête cette année le centenaire de la naissance de Roger Nimier et on aimerait la démarrer sous son signe sans pour autant percuter un pylône sur l’autoroute de l’Ouest. Les publications d’un Quarto ainsi que la réédition en poche de Perfide, l’un des premiers romans du James Dean des lettres françaises, devenu introuvable, sont prévues par Gallimard. De bonnes nouvelles en lisière de 2025, donc, notamment pour une maison qui, réputée au-dessus des partis, a, depuis quelques années, à peu près perdu son aile droite.
Cette aristocratie de l’esprit, voilà bien la seule minorité qui n’ait aucune association pour la défendre
Ce qui nous manque le plus, parmi les vertus des Hussards, c’est certes leur désinvolture tragique, quoi qu’elle ait souvent mué, chez certains de leurs épigones, en hédonisme primaire et irresponsable, ce qui n’était pas exactement l’idée d’origine, mais non, ce qui nous manque surtout, c’est leur insolence, leur type d’insolence, plus précisément.…
L’Incorrect
Retrouvez le magazine de ce mois ci en format
numérique ou papier selon votre préférence.





