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Maghrébins ou Tchétchènes, les néo-français islamistes tuent

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La semaine politique de L’Incorrect

Samedi 12 mai 2018. Une nouvelle date sombre dans l’histoire contemporaine de la France. Alors que les amateurs de l’Eurovision assistaient à une nouvelle déconvenue pour la chanson française – le duo Monsieur Madame ayant lamentablement échoué en dépit d’une œuvre de circonstances suintant les bons sentiments frelatés par tous les pores, genre d’hymne aux migrants clandestins d’une naïveté confondante -, les Parisiens étaient encore confrontés à l’horreur islamique. Naturalisé français en 2010 et fiché S, le fils de « réfugiés » d’origine tchétchène Khamzat Asimov poignardait au nom d’Allah plusieurs passants dans le 2ème arrondissement, tuant au passage un jeune homme innocent de 29 ans.

 

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Immédiatement, le cortège des paons et des experts s’est fait bruyamment remarquer. Il fallait, comme pour tout attentat, se distinguer en présentant un point de vue original, fût-il absurde et indécent.

« Nous sommes tombés dans le piège de François Mitterrand d’une diabolisation de l’extrême-droite »

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Ancien président des Jeunes avec Calmels, Erik Tegnér a quitté le mouvement de jeunesse soutenant la Bordelaise, star montante des Républicains pressentie pour prendre la tête de liste du parti de droite – plus que jamais en berne dans les sondages – aux prochaines élections européennes. Rencontre.

 

Pourquoi avoir quitté le mouvement des Jeunes avec Calmels dont vous occupiez la fonction de président ?   

 

J’ai la plus grande estime et le plus grand respect pour Virginie Calmels qui m’a donné la chance de travailler à ses côtés durant plus de deux ans, en me laissant travailler auprès d’elle comme conseiller sur les idées et le fond tout comme sur son mouvement jeunes. Je l’ai rejointe car j’admirais chez elle la nouveauté, son expérience exceptionnelle dans le secteur privé et sa sincérité à vouloir porter une parole de droite. J’ai beaucoup de respect envers Virginie Calmels en tant que femme mais je ne me retrouvais plus dans sa ligne.

Philippe Mesnard : “La notion de Bien commun est revenue dans le discours des politiques”

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L’Action française tiendra un colloque au Forum de Grenelle samedi 12 mai de 14h à 18h, intitulé Mai 68  et le Bien commun : utopies, échecs et perspectives. Deux membres de la rédaction de l’Incorrect sont invités pour l’occasion ; Jacques de Guillebon et Gabriel Robin. Nous avons interrogé Philippe Mesnard, participant et co-organisateur de l’événement.

 

Le 12 mai, l’Action française organise un colloque intitulé « Mai 68 et le Bien Commun : utopies, échecs et perspectives ». Pouvez-vous nous en dire plus ?

 

La notion de Bien commun, qui paraissait surannée quelque peu, est revenue dans le discours des politiques. Les intellectuels les avaient précédés, et on remarque avec plaisir que la faveur dont jouit le concept est proportionnelle à l’inquiétude croissante que génèrent l’individualisation des comportements, la mondialisation des échanges, et l’autoritarisme de l’Union européenne. D’une certaine manière, la common decency chère à Orwell et popularisée par Michéa, l’insécurité culturelle de Laurent Bouvet ou les triomphes (relatifs) des populismes sont tous des hérauts de ce Bien commun, vu et pensé comme le cœur en danger de nos sociétés trop promptes à changer, à bouleverser, à oublier et à ne pas anticiper.

L’Incorrect numéro 73

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