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Les zéros sociaux : Gabriel Attal

Nous avons un ministre des zéros sociaux ! Il était temps, Gabriel Attal l’a fait. Le dimanche soir, le porte-parole du gouvernement est chargé de répandre la bonne parole macronienne aux djeuns sur Instagram. Il est entouré des meilleurs, d’une cour de youtubers, twitchers et autres influenceurs. Le nec plus ultra, le sommet de la pile : EnjoyPhoenix, Paola Locatelli, Tibo InShape, la sexy Emma Cup Cake, Just Riadh et tant d’autres. Vous pardonnerez l’orthographe approximative de leurs pseudonymes numériques, nous découvrons les noms de toutes ces lumières nationales. Emmanuel Macron avait, lui, une idée derrière la tête en chassant Sibeth NDiaye pour mettre le propret, lisse et robotique Attal. Il voulait « parler aux jeunes », part de marché électorale mi-réfractaire mi-moutonnière qui s’informe sur les réseaux sociaux. Quoi de mieux que d’utiliser des leaders d’opinion pour se rapprocher d’eux ? [...]

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Question d’hygiène : La peste aux portes de Paris ?

« On se croirait revenu un siècle en arrière », lâche un éboueur consterné, face à la prolifération des nuisibles dans le XVIIe arrondissement de Paris. Une prolifération qui a atteint des sommets ces dernières années : jusque dans les jardins de Notre-Dame ou du Trocadéro, c’est désormais en pleine journée et devant des touristes effarés que pullulent des colonies entières de rats, attirées par les restes de nourriture que les quidams croient donner aux pigeons. C’était même devenu un enjeu électoral : pendant sa campagne, Hidalgo avait promis de consacrer un milliard d’euros par an à la propreté et de nommer un « manager » dédié à l’insalubrité dans chaque quartier. Pour l’instant, elle s’est contentée d’accélérer la mise en place des poubelles anti-rats « Cybel » : à peine 12 % du parc total… Une initiative bien timide pour un problème qui réveille une grande peur collective. [...]

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Rémy Prud’homme : « Ce qui m’a le plus irrité dans cette crise sanitaire, c’est le mensonge permanent »

Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire 100 Cailloux dans la chaussure de M. Macron, essai très critique sur les différentes politiques menées par le gouvernement ?

Personne. En fait, je n’ai pas décidé d’écrire un livre sur un thème particulier. Au cours des trois dernières années, tous les dix jours environ, j’ai réagi à un évènement ou une déclaration, en écrivant un « caillou », deux ou trois pages de contexte, de commentaire, de vérification. Pour le plaisir d’écrire et pour me clarifier les idées. Et j’envoyais ces cailloux à une trentaine d’amis. C’est seulement l’été dernier que m’est venu à l’esprit l’idée de regrouper tous ces mini essais en un volume. Je ne croyais qu’a moitié à l’intérêt et à la lisibilité de ce regroupement. Mon éditeur l’a trouvé bon. Nous avons hésité entre une présentation par thèmes et une présentation chronologique, et finalement choisi la présentation chronologique.

Vous être très sévère concernant la gestion de la pandémie de coronavirus par le gouvernement français. Qu'auraient-ils pu mieux faire ?

Ce n’est pas moi qui suis sévère, ce sont les chiffres disponibles. Le fait est que la France est l’un des pays où le nombre de décès par habitant est le plus élevé (pire que le Brésil, un peu moins mauvais que les États-Unis), et surtout l’un des pays où le coût économique des mesures prises (baisse de PIB plus endettement) a été le plus élevé. [...]

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Covid : L’État démasqué

L’affaire des masques est sans doute l’une des illustrations les plus emblématiques de la déréliction progressive de l’État. On connaît désormais l’étendue du fiasco, bien documenté par le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur le Covid : entre 2009 et 2019, à la suite d’une série de décisions de la direction générale de la santé (DGS) et de Santé publique France, les stocks stratégiques de masques sont passés de presque 2 milliards d’unités à… une centaine de 100 millions environ, alors qu’un milliard de masques sont estimés nécessaires pour faire face à une crise intense de seulement dix semaines. Comment expliquer cette situation ? Tout y est : incapacité d’anticipation par l’État, vision exclusivement financière de l’action publique, absence de contrôle politique des administrations, politique de communication déconnectée du réel et fondée sur le mensonge, effacement de la notion de responsabilité. [...]

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Comment je me suis aperçu que j’étais devenu fasciste – et pire, ringard

Ça s’est passé en écoutant il y a un mois l’émission Répliques d’Alain Finkielkraut intitulée Regards croisés sur l’Amérique et sur la France. Les deux invités étaient le journaliste américain James McAuley, correspondant du Washington Post à Paris et auteur d’un article récent dans Le Monde dans lequel il « s’inquiétait » des dérives d’un universalisme français jugé de plus en plus antimusulman sinon raciste et Pascal Bruckner, vieux complice de Finkie, s’inquiétant au contraire de la volonté acharnée du politiquement correct américain à faire de l’homme blanc le Coupable presque parfait de la post-modernité, dominant parce que blanc, sexiste parce qu’homme, transphobe parce que cisgenre.

Comme toujours dans cette émission, la conversation commença sous les meilleures auspices, exquise, nuancée, intéressante, chacun, si l’on peut dire, tombant d’accord dans son désaccord avec l’autre, MacAuley défendant le particularisme au nom de l’universel et se méfiant d’une laïcité trop rigide, « à la française », Bruckner arguant que la laïcité relevait précisément de notre génie national en plus de constituer la méthode universaliste par excellence « protégeant les religions et nous protégeant des religions ». L’échange se tendit quelque peu lorsque le premier évoqua « la très belle et très ancienne foi musulmane installée en France depuis toujours » et se dit consterné par cette notion d’islamo-gauchisme sévissant de plus en plus parmi certains intellectuels français  –  à quoi le second répondit que du fait de sa proximité géographique avec l’Afrique du nord, la France, mieux que l’Amérique, connaissait l’islam et sa mouvance islamiste et que l’on ne pouvait pas totalement distinguer l’une de l’autre – comme le prouvaient d’ailleurs avec brio des intellectuels musulmans tels que Kamel Daoud, Boualem Sansal, Amine El Khatmi, Abdennour Bidar (et sans même parler de Zineb el Rhazoui, notre Marianne et de nos résistantes Lydia Guirous, Sonia Mabrouk, Fatiha Agag-Boudjahlat), toutes et tous  bien plus sévères que nous à l’endroit de leur religion.

Lire aussi : Cancel culture : effacer l’historique

Mais c’est surtout à partir de la situation américaine qu’il apparut clairement que ces trois-là n’étaient pas du tout sur la même longueur d’onde et parlaient en fait toujours d’autre chose. L’Américain causait démocratie, élections américaines, terreur trumpiste. Les Français répondaient idéologie, campus américains, terrorisme culturel. Le premier s’émouvait de l’épisode de l’attaque du Capitole par un type déguisé en bison, les seconds cristallisaient sur le triomphe de la génération woke et de la cancel culture.

Et c’est à ce moment où Finkielkraut voulut faire réagir son interlocuteur sur cette volonté de certains professeurs américains de ne plus enseigner l’histoire de l’art que sous l’angle racialiste, féministe et genriste que celui-ci éclata d’un rire effrayant (27’30’’) – ce qui interloqua son modérateur : « qu’est-ce qui se passe ? ». Le journaliste du Washington post expliqua alors qu’il trouvait sidérante cette « obsession française » à stigmatiser la Cancel culture alors que son pays venait d’échapper il y a trois jours à un coup d’état fasciste ordonné par le président Trump lui-même. Comment pouvait-on s’en prendre à quelques excès universitaires de gauche alors que c’est la démocratie qui avait été mise en péril par un suprématisme de droite ? Et d’ailleurs, ces excès idéologiques, peut-être illégitimes dans la forme, n’étaient-ils pas légitimes sur le fond ? La lutte pour la défense des minorités ne méritait-elle pas quelques salubres outrances ? Entre la paille du politiquement correct et la poutre du politiquement facho, comment pouvait-on hésiter une seconde ?

L’épisode tragicomique du Capitole me semblait bien moins grave que l’arrivée au pouvoir de ce même Biden, de sa Rokhaya Diallo de Kamala Harris et avec eux de toute cette génération woke assoiffée de censure et de révisionnisme culturel et artistique

Et c’est là que je m’aperçus qu’en effet, oui, j’étais « fasciste ». L’épisode tragicomique du Capitole (qui ne remettait pas une minute en question l’élection de Joe Biden) me semblait bien moins grave que l’arrivée au pouvoir de ce même Biden, de sa Rokhaya Diallo de Kamala Harris et avec eux de toute cette génération woke assoiffée de censure et de révisionnisme culturel et artistique. Je trouvais plus insupportable et ô combien plus dangereux pour l’humanité le triomphe de la Cancel culture, avec ses « trigger warnings » (« traumavertissements »), ses « sensitivity readers » (« lecteurs sensibles »), son « public shaming » (« honte publique »), son « male gaze » (« regard masculin »,  forcément voyeur et violeur, et que Bruckner appela plaisamment « merguez »), ses « disrupttexts » (« défions les textes », Homère et Shakespeare compris) que les tweets drolatiques de Donald Trump qui au fond se révélait, lui, l’inculte vulgaire et matamore, le dernier rempart à la déculturation inclusive du monde.

Et puisqu’on parlait de racisme, je soussignais aux propos de Bruckner affirmant que le vrai racisme, aujourd’hui, c’était justement cet antiracisme racialiste, identitaire, bien décidé à en finir avec les « DWEM » Dead White European Male ») autant qu’avec les Noirs refusant de se définir comme tels et fuyant les États-Unis comme cela avait déjà été le cas pour l’écrivain noir et homosexuel, James Baldwin, venue s’installer en France dans les années 70 pour la bonne raison que dans notre pays il n’était pas assigné à sa négritude et à son homosexualité – objection à laquelle MacAuley n’eut rien à répondre et comme si au fond le débat ne l’intéressait plus et que ses Français d’un autre monde pouvaient dire ce qu’ils voulaient, c’était son monde à lui qui triomphait. Il reprit tout de même la parole à la fin pour dire que la Cancel culture n’était absolument pas une « menace » à ses yeux contrairement au « capitalisme néo-libéral » (et comme si le Cancel n’était pas l’aboutissement de ce néo-libéralisme) et qu’il était désolé pour ses interlocuteurs de n’être plus dans le coup, façon d’envoyer à ces derniers, ce que releva tout de suite Finkie, un de ses « ok boomers » typique du négationnisme du nouveau monde. [...]

Francis Lalanne, réglons notre affaire en duel

Paris, jeudi 18 février 2021

Monsieur,

votre droit de réponse est un exploit littéraire, puisque vous réussissez à y écrire de la prose avec les pieds. Mais surtout, parce que vous vous y contredisez de bout en bout. Vous n’aimez pas les catégorisations mais vous nous catégorisez, vous n’aimez pas les jeux de mots mais vous en faites tout de même, et médiocres encore, vous vous dites attaché à la Constitution mais désirez renverser le pouvoir, mais, pour un adjectif qualificatif qui n’a point l’heur de vous plaire, vous appelez la Justice à la rescousse comme on appelle sa maman.

Il se trouve que je n’ai pas écrit le titre vous traitant de con : mais il se trouve également que je m’en solidarise, et que j’ajoute au passage que vous êtes un pître, un clown, que votre production est globalement mauvaise, et que lorsque vous dites « Je suis un chevalier » dans le Parisien (10 juillet 2020), vous vous moquez de mil cinq cent ans de chevalerie. Guillaume d’Orange, grand chevalier et poète lyrique en langue d’oc, se retourne probablement dans sa tombe. Je souhaite le venger.

Enfin je goûte mal le fait que vous nous traitiez de putchistes, parce que c’est ma famille intellectuelle et spirituelle qui fournit les hommes qui meurent au loin et dans le silence, pour que des Francis Lalanne puissent exister. Les hommes comme nous sont la condition sine-qua-non de l’existence des hommes comme vous.

Votre engagement -louable dans l’absolu- pour les Gilets jaunes est un scandale, dans la mesure où vos bons sentiments et votre idéologie libertaire sont précisément la cause des maux subis par les petits de notre peuple. Les pauvres ne sont riches que de leur identité et leur nation : mais cela même, les gens comme vous leur ont enlevé, en jouant le cirque pathétique d’une lutte contre un nationalisme mort depuis des décennies.

Je vous propose de régler notre différend comme des gentilshommes dignes de ce nom. Puisque vous aimez vous déguiser et mettre des bottes, soyez à la hauteur des héros que vous singez.

Je vous propose un duel.

Le duel s’arrêtera au premier sang. Je vous laisse, comme le veut la coutume, le choix de l’arme, entre le sabre ou la rapière. Nous nous battrons sur la place parisienne de votre choix. Mes témoins sont messieurs Robin Nitot et Ange Appino. Ce courrier vous a été également adressé par lettre avec accusé de réception, et doublé par mail pour convenir des modalités pratiques du duel.

Dans le cas où vous ne répondrez pas favorablement, je me considérerai satisfait, puisque votre pleutrerie aura été publiée.

Dans le cas contraire, je vous considérerai comme un homme restauré dans son honneur et nous pourrons nous serrer la main.

Nous nous verrons sur le pré.

Louis Lecomte

Qui veut son migrant ?

La trouvaille, baptisée « effort républicain », est détaillée dans un curieux charabia rempli de fautes d’orthographe intitulé « schéma d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés 2021-2023 » laissant généreusement une petite vacherie à l’éventuel successeur d’Emmanuel Macron en 2022. L’État jacobin imposera donc aux territoires d’outre-périphérique des quotas de migrants en pénalisant particulièrement deux régions, la Bourgogne et la Bretagne, qui devront doubler leur charge d’immigrés pour atteindre 5 % de la péréquation nationale. 2 500 migrants installés en Île-de-France seront ainsi offerts chaque mois en cadeau aux ruraux qui n’attendaient que ça. Notons que lors du premier démantèlement de la jungle de Calais en 2016, l’expérience avait déjà été tentée. Avec un succès mitigé en Bretagne puisque les Afghans prévus pour séjourner au lac de Trémelin en Iffendic (superbe endroit au demeurant) avaient refusé de descendre du car arguant qu’ils voulaient aller « dans une grande ville ». Une fois arrivés à Saint-Brieuc… ils étaient repartis vers Calais !

Lire aussi : Tribu contre tribu [...]

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Qui est « ParisPasRose » ?

Pour comprendre ce qui agite la LGBTsphère, il faut remonter au 9 février. Ce mardi, un jeune homme, Guillaume, est retrouvé pendu dans sa chambre universitaire du campus de Nanterre. Le 21 janvier, il avait accusé publiquement Maxime Cochard, conseiller de Paris PCF du XIVe arrondissement, et son compagnon de l’avoir violé en 2018, alors qu’il n’avait lui-même que dix-huit ans. Maxime Cochard, proche de Ian Brossat, le maire-adjoint de Paris au logement, a nié en bloc, parlant d’une « accusation totalement fausse » et a porté plainte en diffamation. Mais très vite le PCF demande sa mise en retrait et Carine Petit, maire socialiste du XIVe, lui retire sa délégation« Égalité Femmes Hommes et lutte contre les discriminations ». L’avocat de la famille de Guillaume annonce porter plainte contre X pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Dans la foulée, une vague de témoignages inonde twitter sous le mot-dièse #metoogay, « libérant la parole de centaines d’hommes homosexuels victimes de violences sexuelles ».

« Quelque chose de pourri à l’Hôtel de ville »

Une affaire similaire avait déjà eu lieu quand le photographe et militant homosexuel Olivier Ciappa avait fait une tentative de suicide au début du mois de juillet, après avoir évoqué sur twitter le harcèlement et les moqueries dont il avait été victime de la part de figures du militantisme LGBT parisien. « Il n’y a pas de lien entre les deux affaires », nous apprend Kevin [le prénom a été changé], militant historique de la cause LGBT. Pas de lien, « mais c’est la même bande. Ils agissent en meute ». Ils ? « Derrière ce lynchage, il y a des comptes anonymes sur twitter, en majorité tenus par la branche LGBT d’Anne Hidalgo qui s’appelle Fiertés en Commun », révélait Valeurs Actuelles. « Ils sont très implantés en politique et dans les médias, gays bien sûr comme Komitid ou Têtu, mais aussi 20 Minutes qui a lancé le plus gros harcèlement ». L’hebdomadaire cite même des noms : Joël Deumier de Fiertés en Commun, Romain Burrel de Têtu, Denis Quinqueton, Yohann Roszéwitch, Philippe Lasnier, Nicolas Rividi ou les élus communistes de Paris Ian Brossat et Maxime Cochard. et le fameux compte anonyme ParisPasRose. Anonyme jusqu’à aujourd’hui, semble-t-il.

Lire aussi : Dossier LGBT – Enquête Paris, la vie en rose

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