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Emmaüs est une pompe aspirante migratoire

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Publié le

30 janvier 2020

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La notoriété du mouvement Emmaüs dépasse largement les frontières de la France. Fondée en 1954 par l’abbé Pierre, longtemps le Français « préféré » des Français, Emmaüs lutte contre la pauvreté et l’exclusion au sein de diverses communautés présentes en Europe ou en Afrique. Très populaire, l’association reçoit de nombreux dons privés et d’importantes subventions, jouant parfois même un rôle de lobbying dans le champ politique. Mais, au juste, sait-on exactement ce que fait concrètement le mouvement en France ?

 

« Pour des communes accueillantes ! Les organisations engagées dans les Etats Généraux des Migrations lancent une campagne d’interpellation des candidat.e.s aux municipales. Un kit complet est dispo sur le site des #EGMigrations. À diffuser largement ! », communiquait sur Twitter Emmaüs France le 29 janvier. Une manière d’exercer une pression sur les candidats engagés dans les élections municipales de mars. Emmaüs n’a jamais fait mystère de ses orientations. Elles ne sont d’ailleurs pas anormales ni illogiques de la part d’une organisation caritative chrétienne, dont la solidarité n’est pas exclusive mais universelle.

 

Toutefois, les chiffres donnés dans le rapport d’activité de l’année 2017 par Emmaüs Solidarité donnent une photographie assez claire et inquiétante de l’état présent de notre pays. Ainsi, parmi les 22.355 personnes suivies en 2017 par Emmaüs dans le cadre de l’accompagnement social des 60 structures d’hébergement et de logements adaptés, seules 3 % d’entre elles étaient de nationalité française et 2 % ressortissantes d’Etats-membres de l’Union européenne. Ce qui signifie donc que 95 % des personnes accompagnées venaient de pays non membres de l’Union européenne ! On compte d’ailleurs 95 % de célibataires et une très large majorité d’hommes (19.397, soit 86,76 % des effectifs).

 

 

Lire aussi : Révélations: À peine 400 SDF français dans Paris : un travailleur social dit tout !

 

 

La tendance est encore plus marquée pour ce qui concerne les personnes hébergées dans les 18 centres d’urgence présents en France, puisque ces dernières se recrutent à 98 % dans des pays non membres de l’Union européenne ! Même les centres d’hébergement et de réinsertion sociale sont concernés par le phénomène, alors que leur mission diffère très largement, accueillent 66 % de personnes issues de pays hors de l’Union européenne. C’est proprement colossal. À savoir qu’un Centre d’hébergement et de Réinsertion Sociale est un établissement accueillant des personnes stabilisées pendant une durée de deux ans en moyenne où elles seront prises en charge par des équipes sociales correspondant en moyenne à un travailleur social pour 12 hébergés contre 25 en Urgence.

 

Ils sont tous les jours plus nombreux à venir, attirés par les aides substantielles et l’accueil reçus en France. Serions-nous victimes d’une arnaque à la compassion ?

 

Pour résumer, Emmaüs France s’occupe principalement des étrangers. Les associations ont pourtant protesté contre Emmanuel Macron, jugeant qu’elles n’avaient plus les moyens d’aider les « migrants » correctement et qu’il s’agissait d’une politique inhumaine. Pourtant, la situation s’aggrave. Ils sont tous les jours plus nombreux à venir, attirés par les aides substantielles et l’accueil reçus en France. Une tendance qui se confirme dans le temps puisque depuis novembre 2019 dernier, le passeur Cédric Herrou est à la tête d’une communauté Emmaüs dans son exploitation agricole de la vallée de la Roya. Un homme à l’origine d’un nouveau “principe constitutionnel” dont nous vous avions parlé dans un article : le principe de “solidarité”. Une solidarité qui s’exerce principalement à l’endroit de l’Autre, magnifié et nouveau Dieu d’un monde dont l’incarnation de la Terre mère serait Greta Thunberg. 

Serions-nous victimes d’une arnaque à la compassion ? Les publicités d’Emmaüs, notons-le, mettent souvent en scène des SDF idéalisés, tels que vus dans les films : bien Français, barbus, le regard bleu foncé par les épreuves de l’existence. Un euro versé à Emmaüs serait-il un euro versé à l’immigration de peuplement ? À vous de juger.

 

Gabriel Robin

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