Avec ce premier long-métrage Terry Gilliam s’émancipe des Monty Python et impose un univers plus personnel, une féerie médiévale et non-sensique dont on voit déjà les prémisses dans Sacré Graal. Librement inspiré d’un poème de Lewis Carroll, Jabberwocky est une sorte de conte de fées absurde travaillé par l’inversion oulipienne et un certain sens du grotesque proche des enluminures et des chimères dont Gilliam raffole.
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