Robert Redeker n’est pas à une fatwa près et s’il est l’un des rares intellectuels français à aimer le football, il ne craint pas d’en dénoncer les travers. Qui aime bien châtie bien.
Robert Redeker n’est pas à une fatwa près et s’il est l’un des rares intellectuels français à aimer le football, il ne craint pas d’en dénoncer les travers. Qui aime bien châtie bien.