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Selectron : Les 5 films qui montrent qu’il est parfois préférable d’être confiné

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Publié le

20 avril 2020

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Depuis la mise en place du confinement, vous tournez lamentablement en rond dans un petit espace large de trente mètres carrés comme une âme en peine ? Votre vie affective ressemble au désert du Nevada ?

 

Vous avez la vie sexuelle d’un « incel » américain ? Votre quotidien est devenu si lourd que vous avez l’impression d’être la cible d’une punition divine ? Une chose est sûre : Le confinement n’est pas un dîner de gala ! Mais rassurez-vous, il y a bien pire que d’être confiné sur son canapé les yeux rivés sur l’écran plat de son téléviseur. Imaginez-vous l’espace d’un instant livré à vous-même dans une nature hostile, perdu dans le grand nord canadien ou dans le désert, ou encore poursuivi par un ennemi invisible au milieu de nulle part. La terre ne ment pas…et n’a souvent aucune pitié pour les pauvres mortels que nous sommes ! La preuve en cinq films qui démontrent que lutter pour survivre en pleine nature est souvent bien plus éprouvant que de rester confiné chez soi.

 

 
« Deliverance » (1974) :

Un groupe de citadins américains se réunit à l’occasion d’un week-end en pleine nature dans le seul but de décompresser de la vie urbaine. Ensemble, ils ont prévu de descendre en canoé un fleuve qui traverse les montagnes des Appalaches. Il faut dire que la région doit être aménagée en vue de la construction d’un barrage. C’est donc le moment ou jamais d’en profiter. Malheureusement pour eux, ils vont bientôt subir les attaques d’une poignée de « rednecks » impitoyables bien décidés à leur faire subir les pires sévices. Forcés de lutter pour leur survie dans un enfer vert, seuls quelques-uns d’entre eux en sortiront vivants. Grâce au talent d’interprétation de ses acteurs (notamment Burt Reynolds) et la beauté épique de certaines scènes (comme le fameux duel au banjo), ce long-métrage légendaire signé John Boorman réussit le pari de faire passer un message écologiste et technophobe des plus radicaux tout en nous offrant un pur moment de distraction.

Pour le voir, cliquez sur ce lien.

 
« Duel » (1973) :

Sur une route de Californie, un modeste employé de commerce (campé par l’acteur Dennis Weaver) se retrouve pris en chasse par un énorme camion dont le mystérieux conducteur ne semble pas particulièrement pacifiste. S’ensuit alors une course-poursuite effrénée. Le héros du film va devoir lutter pour sa survie au volant de sa voiture. Réalisé par Steven Spielberg en 1973, ce long-métrage est un road-movie unique au suspense haletant qui ferait passer un thriller comme « Sueurs froides » d’Alfred Hitchcock pour une comédie sentimentale mièvre !

Pour le voir, cliquez sur ce lien.

 

 
« The blair witch project » (1999) :

Qui se souvient de l’incroyable retentissement à l’orée du 21ème siècle du « Projet blair witch » ? A l’époque, Internet n’en était qu’à ses balbutiements. Et pourtant, c’est bien grâce à la toile que ce film de Daniel Myrick et Eduardo Sanchez que ce long-métrage a pu susciter un tel écho médiatique avant même qu’il soit visible par le public. Dans ce dernier, trois réalisateurs amateurs partent en forêt pour réaliser un documentaire sur la sorcellerie. Un an après, la découverte de leur film va permettre de lever, un tant soit peu, le voile sur les circonstances de leur mystérieuse disparition. Si à l’époque de sa sortie, ce film d’horreur expérimental, premier « found footage » de l’histoire, faisait figure de curiosité, il paraît bien ordinaire aujourd’hui. Cependant, le visionnage du « Projet blair witch » représente toujours une expérience physique unique dont on ne sort pas indemne.

Pour le voir, cliquez sur ce lien.

 

Lire aussi : Reportage : L’invasion : Lesbos sous les assauts des migrants

 

 
« Into the wild » (2007) :

Tout juste diplômé de l’université, le jeune Christopher, 22 ans, décide de tourner le dos à la brillante carrière qui l’attend pour prendre la route. A la manière des écrivains-voyageurs comme Jack Kerouac ou Henry David Thoreau, il se lance dans un périple à travers l’Amérique du Dakota à la Californie en passant par le Colorado. Au bout de son voyage, bien décidé à vivre en communion avec la nature, il décide de s’aventurer seul dans les étendues sauvages de l’Alaska. Dans ce long-métrage réalisé en 2007 et adapté d’un roman du même nom de Jon Krakauer, l’acteur américain Sean Penn révèle ici son énorme talent en tant que réalisateur.

Le voir, cliquez sur ce lien.

 

« The Revenant » (2015) :

Au début du 19ème siècle, le trappeur américain Hugh Glass est attaqué par un ours. Grièvement blessé, il est laissé pour mort et abandonné par ses équipiers. Par la force de la volonté, il va entreprendre seul un voyage de 300 km au milieu d’une nature hostile afin de rentrer chez lui et retrouver sa femme et son fils. Bien décidé à se venger de l’homme qui l’a trahi, il va surmonter héroïquement tous les obstacles qui se dresseront sur son passage. Réalisé par Alejandro Gonzalez Inaritu en 2015, ce long-métrage de 2h36 aux allures de western est sans doute l’un d’un des meilleurs films de survie les plus émouvants jamais réalisé, notamment grâce aux talents d’interprètes de Leonardo Di Caprio et Tom Hardy.

Pour le voir, cliquez sur ce lien.

 

Mathieu Bollon

 

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