Hourra ! La chanteuse française vient de rejoindre la grande famille L’Oréal Paris en tant qu’ambassadrice internationale, avec surement quelques gros sous à la clef. D’après la célèbre marque de cosmétiques, il s’agit de promouvoir « l’inclusivité pour toutes les beautés » et l’« amour de soi », avec un unique credo pour tous les rassembler : « Osez être vous-même, chaque beauté est unique ». Relayant le même message, Yseult en appelle à la confiance en soi et se félicite de devenir le modèle des « petites filles et petits garçons qui vont (la) voir à la Tv » et « dans le monde entier », lui donnant le « sentiment d’ouvrir les portes de la beauté à tous ». Pour peu que ces enfants voient une pub McDonald juste après celle de l’Oréal, et ils pourront effectivement prendre leur rêve pour une réalité. Faire la promotion de l’obésité quand on sait ses conséquences sur la santé est scandaleux, mais que voulez-vous, ce surpoids maladif de la chanteuse lui permet d’être une « beauté unique ».
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Ce n’est pas la première fois que la marque joue la carte de l'inclusivité et de la diversité, et elle a même à plusieurs reprises été dépassée par la radicalité gauchiste de ses égéries. En 2017, la mannequin transexuelle Munroe Bergdorf était licenciée pour des propos racistes anti-blancs, tenus après l’attaque terroriste de Charlottesville : « Quand les Blancs commenceront à admettre que leur race est la force la plus violente et la plus oppressante de la nature sur Terre… alors on pourra parler ». Rebelote l’année suivante avec la démission de la mannequin voilée Amena Khan, suite à la réapparition d’anciens tweets sur Israël s’adressant au gouvernement britannique, parmi lesquels : « Vous êtes coupables de fournir des armes à un État terroriste. Vous offrez "un soutien loyal" à un génocide ». Visiblement la leçon n’a pas été retenue par l’enseigne.
Yseult n’est définitivement pas la personne la mieux placée pour promouvoir la tolérance et le respect, elle qui fait des clivages raciaux et sociaux son fonds de commerce, elle qui sans être raciste promeut la discrimination positive et tient des discours antifrançais : « Mais on doit quoi à la France ? Personne ne voit ce qu'on nous a pris c'est à dire le respect ». Chaque époque a ses icônes, malheureusement la nôtre est infestée d’idéologies post-modernes : c’en est fini du mérite, de l’honneur et du respect qui jadis constituaient les assises de notre société, au profit d’icônes vulgaires et apatrides.(...)
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