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La reine est cancel, vive le roi !

La reine est cancel, vive le roi ! Fausse alerte, nous n’irons pas jusque-là. La Reine Elizabeth II a été victime de la cancel culture, ce mercredi 9 juin des étudiants de la brillante université d’Oxford ont décroché son portrait des murs d’une salle appartenant à leur association : la Middle common room, invoquant la période coloniale à laquelle son image renvoie. Il fallait s’y attendre, la famille royale est au Royaume-Uni l’institution traditionnelle la plus emblématique du pays. Déjà ébranlée par les accusations de racisme portées par l’actrice américaine Meghan Markle en exil outre-atlantique aux côtés du prince Harry, endeuillée par le décès du Prince Philip, la famille royale se retrouve à nouveau en proie aux tabloïds.

Le groupe d’étudiants responsable de cet outrage est composé d’élèves déjà diplômés, qui suite à un vote interne, ont décidé que ce symbole de la monarchie pouvait être blessant pour une partie des étudiants. La présidente du Magdalen College d’Oxford a rapidement pris ses distances avec l’association d’élèves de son école, en expliquant que leur acte ne représentait pas la politique de l’école, mais a toutefois souligné le droit à « la liberté d’expression et au débat politique ». Elle renchérit en expliquant que le tableau avait été accroché en premier lieu à l’initiative des élèves, en 2013, et qu’il pourrait l’être à nouveau si l’association le votait. Le président de l’association a quant à lui justifié cet acte par une raison purement esthétique : « il y a des endroits plus pertinents pour accrocher ce tableau », ainsi qu’une volonté de créer un « espace neutre » pour les étudiants, « quels que soient leurs antécédents, leurs caractéristiques démographiques ou leurs opinions ». [...]

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Kamala Harris ferme les frontières

Kamala Harris a enclenché la première phase de la politique migratoire « plus humaine » de Biden en s’adressant de manière claire et concise aux Guatémaltèques : « Ne venez pas, ne venez pas, les États-Unis continueront à appliquer leurs lois et à sécuriser leurs frontières… Si vous venez à notre frontière, vous serez refoulés ». Donald Trump… pardon Kamala Harris, s’adressait ainsi aux candidats à l’immigration clandestine, aux côtés du président Alejandro Giammattei, dans le cadre de sa première visite à l’étranger en tant que Vice-présidente des États-Unis.

La vérité c’est que rien n’a vraiment changé sous le mandat de Trump


Joe Biden a effectivement fondé une partie de sa campagne sur cette question de l’immigration. Les démocrates se sont acharnés durant tout le mandat contre le président républicain, en particulier sur sa politique migratoire : les familles séparées à la frontière mexicaine, la tolérance zéro sur l’entrée à la frontière, la construction du mur, ou encore la politique d’immigration au mérite… La vérité c’est que rien n’a vraiment changé sous le mandat de Trump. Il a beaucoup fait scandale, très médiatisé et fustigé par la ligne-éditoriale bien-pensante, mais dans les faits la construction du mur a davantage avancé sous ses prédécesseurs, sa politique méritocratique n’a pas séduit la Cour suprême, les migrants sont tout de même passés. Toutefois des familles ont bien été séparées, d’ailleurs Joe Biden a promis de les rassembler (il n’a certes pas précisé si les rassemblements auraient lieu sur le sol américain ou non). (...)

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Le Hamas amasse

Au moment où sont écrites ces lignes, Israël a reçu la semaine dernière 2 000 roquettes tirées par le Hamas. D’après les médias israéliens, il resterait 28 000 engins à l’organisation palestinienne. Un communiqué de sa branche armée, les brigades Izz al-Din al-Qassam, nous a appris l’usage de missiles A-120, SH85, Q20, M75, J80 et J90, ainsi que des roquettes iraniennes Sejil d’une portée de 120 km. Les Sejil exceptées, toutes les autres sont fabriquées localement par le Hamas. Elles coûtent de 500 à 3 000 dollars chacune, à comparer au coût unitaire des missiles du « dôme de fer » qui a protégé Tel-Aviv toute la semaine, plus proche de 50 000 à 80 000 dollars pièce. L’un dans l’autre, l’opération du Hamas lui a coûté dans les trois millions de dollars de matériel. Quel intérêt? La chaîne israélienne Channel 12 a apporté le 10 mai un début de réponse. L’Iran financerait le Hamas à hauteur d’environ 70 millions de dollars par an. Mais, pour le mois de mai, Téhéran aurait consenti une rallonge de 30 millions à une condition: que le Hamas aide l’Iran à collecter des informations sur les capacités anti-missiles israéliennes et ses emplacements. De ce point de vue, c’est réussi. Le « dôme de fer » a fonctionné en mondovision. 3 millions de dépenses pour 30 millions de revenu : en première analyse, le Hamas a réalisé une marge de 90 % sur le chèque iranien. Dans les faits, cette marge est moindre.

Lire aussi : Israël : « Il est impossible d’affirmer que l’escalade ne va pas se poursuivre »

En premier lieu, Israël a répliqué sérieusement et des tunnels ont été détruits. Il va falloir recommencer à les creuser. En 2014, Israël estimait que les Palestiniens avaient construit 1 300 tunnels pour 1,25 milliard de dollars. Le coût d’un tunnel ressortait donc à environ 961 000 dollars. Mettons que Jérusalem en ait touché 10, c’est 10 millions de plus qu’il faut soustraire du chèque iranien. [...]

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Allemagne : la CDU renforce ses positions

À trois mois et demi des élections fédérales allemandes, le scrutin régional de Saxe-Anhalt a été largement remporté par l’Union chrétienne-démocrate (CDU) d’Armin Laschet, nouveau chef du parti et grand prétendant pour la succession d’Angela Merkel à la chancellerie. Avec 37 % des voix, la CDU termine avec 16 points de plus que l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), le parti eurosceptique de droite. Par rapport aux élections de 2017, le parti majoritaire enregistre donc une progression de six points, alors que l’AfD d’Alexander Gauland recule légèrement.

Ce résultat est un véritable soulagement pour la CDU, dans une période où l’AfD a le vent en poupe dans l’ancienne RDA, et alors que la gestion du Covid-19 par le parti au pouvoir a soulevé des questions chez beaucoup d’Allemands.

La stratégie du parti de Laschet semble donc requérir un grand écart idéologique pour se maintenir au pouvoir

Les élections fédérales sont cependant loin d’être gagnées pour le parti d’Angela Merkel : plusieurs critères favorables ont joué dans ces élections régionales, mais auront beaucoup moins de poids dans les élections de septembre. D’abord, la CDU a bénéficié de la forte popularité du ministre- président de Saxe-Anhalt Reiner Haseloff, tandis qu’Armin Laschet est bien plus contesté au sein de son propre parti. Là où Haseloff est apprécié pour sa ligne conservatrice et ses prises de parole tranchantes – ce qui lui a permis de marquer des points face au parti rival, Laschet perpétue la ligne modérée de la chancelière sortante. Il est notamment contesté par Markus Söder, ministre-président bavarois qui drague l’aile conservatrice du parti. Un duel dont Laschet était sorti vainqueur il y a quelques mois en interne, mais qui menace encore l’unité du parti.

La CDU a aussi fortement bénéficié de sa campagne de barrage contre l’extrême droite, ce qui ne va pas sans rappeler les dernières élections françaises. Or le principal rival de la CDU à l’échelle nationale n’est pas l’AfD, mais plutôt les Verts d’Annalena Baerbock, bien plus populaires en ancienne RFA et que certains sondages ont même donné en tête pour les législatives. [...]

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Éditorial monde de juin : Le cheval de trop

« Nous n’avons jamais produit le geste fondateur que les Pères fondateurs de l’Amérique ont produit en 1787. Il n’y a pas eu de fondation. Nous avons placé tout notre espoir dans le processus et nous avons supposé qu’à un certain point, sans savoir ni quand, ni comment, la fondation allait survenir », expliquait le philosophe Pierre Manent en 2012. La création de l’Union européenne en 1992 n’est pas seulement l’exact contraire d’un geste fondateur, c’est la tentative d’une déconstruction totalement anhistorique. La Fiction des « États- Unis d’Europe » a pourtant eu quelques parrains prestigieux : Victor Hugo en aurait fait la première étape vers une forme d'unification universelle de l’humanité et Napoléon lui-même aurait envisagé de fonder un système politique, légal et judiciaire unique sur le continent.

Oui mais voilà, Napoléon n’a pas fondé les « États-Unis d’Europe » : il a été sacré « Empereur des Français » et a représenté pour la France et pour l’Europe le point de départ d’un nouveau récit historique, liquidant au passage l’archaïque Saint-Empire romain germanique. L’Union européenne a entamé un cheminement inverse. Elle arrache, à mesure que se renforce ce processus d’intégration technocratique, la France et l’Europe à leur histoire, pour consacrer un nouveau zollverein, à l’image de celui de la Prusse des années 1830, et dominé encore économiquement par une Allemagne démographiquement exsangue, qui entraîne avec elle le continent dans un processus d’autodilution, sous le regard béat des dirigeants français : de Chirac à Macron, tous continuateurs de l’entreprise de liquidation commencée par Tonton.

L’Union européenne représente une entreprise radicale de déconstruction de l’imaginaire des sociétés qu’elle a intégrées

Rien ne prouve mieux cette ferveur du reniement que les initiatives imposées au musée des Invalides à l’occasion du bicentenaire de la mort de Napoléon. Pour rendre hommage à celui qui fut à la fois capable de solder et d’exporter la Révolution, le directeur de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA), Éric de Chassey, a donné carte blanche à une brochette d’artistes qui devaient élaborer un parcours d’art contemporain intitulé « Napoléon ? Encore ! » – car on n’a jamais assez d’art contemporain, même au sein d’une nécropole qui abrite le cercueil de Napoléon et les tombeaux de Turenne, Lyautey et Foch. On a donc demandé à un artiste de suspendre au-dessus du tombeau de l’Empereur un squelette de cheval en plastique, qui représenterait Marengo, le cheval « fétiche » de Napoléon.

Un cheval en plastique pour représenter un cheval fictif ? Marengo ne figure pas sur le registre des chevaux de Napoléon, comme le souligne Pierre Branda, historien et directeur du patrimoine de la Fondation Napoléon. On regrette que le squelette ne soit pas fluorescent, cela serait du plus bel effet pour Halloween. L’exposition, qui rassemble des noms aussi connus dans les cercles de l’art contemporain que Marina Abramovic ou Yan Pei-Ming, se veut évidemment innovante, impertinente et a à cœur de déconstruire le mythe de l’Empereur ou de mettre en avant son héritage esclavagiste et colonialiste. On regrettera aussi le manque d’approche genrée et de questionnement féministe dans cette entreprise de déboulonnage de salubrité publique.(...)

Notre correspondant en Israël : « Même les plus optimistes, ne donnent aucune longévité à cette coalition »

Une coalition historique, allant de la gauche à l’extrême droite, vient de voir le jour en Israël pour renverser Benjamin Netanyahu. Ce coup politique est-il une surprise en Israël, et comment cette nouvelle a-t-elle été accueillie ? 

Cela faisait un moment que le camp des « anti-bibi » essayait de se coaliser. On savait que des efforts étaient faits de tous côtés pour tenter de réunir les 61 sièges nécessaires sur les 120 de la Knesset. La vraie surprise vient du retournement du candidat sioniste religieux Naftali Bennett qui, lui, avait signé un papier devant ses électeurs promettant de ne jamais rejoindre son ami Yaïr Lapid (leader du parti centriste Yesh Atid).  

Cette coalition est donc le résultat d’étroites négociations qui aboutissent à un système de rotation pour le Premier ministre, qui sera dans un premier temps Bennett puis Lapid. C’est ce qui a convaincu le leader de la Nouvelle Droite, ancien proche de Netanyahu, d’y prendre part. En prenant cette place, Bennett a trahi une grande partie de son électorat, ce qui risque de créer une grande instabilité. [...]   

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L’Union européenne va verser 15 milliards d’euros aux candidats à l’adhésion, dont la Turquie

Mercredi 2 juin, la Commission européenne a annoncé un nouveau projet d’aide économique à hauteur de 15 milliards d’euros pour la période 2021-2027 destiné aux pays candidats à l’adhésion. Les bénéficiaires seraient les pays des Balkans – l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Kosovo, le Monténégro, la Macédoine du Nord, la Serbie – et la Turquie. D’après les mots d’Olivier Varhelyi, commissaire chargé du projet, il s’agit d’« envoyer un signal positif, bienvenu et fort aux pays des Balkans occidentaux et à la Turquie » en finançant un plan d’investissement « essentiel pour soutenir la reprise économique de cette région prioritaire ». En clair, dans un contexte économique difficile, il s’agit de relancer ces économies pour les faire converger à ce qui se fait au sein de l’Union. Le Parlement et le Conseil européen doivent encore approuver cet accord avant que le plan ne soit exécuté.

Évidemment, c’est la présence de la Turquie dans la liste des bénéficiaires qui a fait bondir les commentateurs. Après 30 ans de candidature fortuite, son cas semble intéresser de nouveau l’Union européenne. Son adhésion est-elle pourtant envisageable ? Il n’est pas certain que sa situation économique soit la véritable barrière. Bien au contraire, le PIB turque est loin d’être ridicule, et était classé en 19ème place sur 197 pays par le Fonds monétaire international dans son classement de 2019.

Lire aussi : Pakistan et Turquie : Les réseaux de l’islamisme en France

Non, les raisons qui retiennent encore la Turquie aux portes de l’Union sont toutes autres, et bien plus profondes. Avec deux fois la taille de l’Allemagne, la Turquie représenterait le troisième foyer de population européen, un foyer de 82 millions de musulmans pour qui la religion et l'État ne font qu’un. Le pays est gouverné par le très autoritaire Recep Tayyip Erdo?an qui massacre la minorité kurde à sa frontière et mène une politique expansionniste dans la région, preuve en est l’offensive azéri récente en Arménie. Vis-à-vis de l’Union européenne, il mène une politique de chantage sur la question migratoire en menaçant d’ouvrir ses frontières aux millions de migrants qui s’y entassent, et s’oppose directement à la politique européenne sur la question chypriote.

La situation intérieure est par ailleurs loin de correspondre à l’idéal progressiste et droit-de-l’hommiste de l’Union européenne. Ces cinq dernières années, après le coup d’État raté de 2016, les tensions se sont même accentuées avec des purges et emprisonnements arbitraires sur ordre du pouvoir, alors qu’Erdogan a multiplié les menaces et les insultes envers l’Allemagne, les Pays-Bas et la France. Rappelons qu’il avait publiquement questionné « la santé mentale » du président Emmanuel Macron il y a quelques mois ! [...]

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Le Brésil de Bolsonaro infiltré par le Ku Klux Klan ?

Les chevaliers de « l’Empire invisible » ont-ils infiltré le Brésil du président Jair Bolsonaro ? Depuis le 21 avril dernier, c’est la question que se posent certains médias locaux. Lors d’une manifestation pro-gouvernementale organisée dans un quartier de la périphérie de Porto Alegre, un homme cagoulé et habillé à la manière du Ku Klux Klan a pris publiquement la parole devant une petite assistance. La scène a été filmée et commentée sur les réseaux sociaux de ce pays profondément marqué par l’esclavage. Ce n’est pas la première fois que l’on évoque des liens supposés entre le dirigeant brésilien et ce mouvement raciste, antisémite, anticatholique et anticommuniste fondé au XIXème siècle dans le sud des États-Unis.

https://twitter.com/OOorrer/status/1384993209911238671

« Que sommes-nous venus faire ici aujourd’hui, mes amis ? ». Avant même d’obtenir la réponse de son auditoire, habillé de l’attirail complet du parfait petit klaniste, l’homme renchérit immédiatement : « Nous sommes venus pour mettre fin au communisme ! ». Les applaudissements ne sont pas à la hauteur de l’orateur qui insiste pour que les participants, certains drapés des couleurs nationales, fassent échos à ses propos. La vidéo, qui a été partagée sur les réseaux sociaux et vue des milliers de fois, a fait réagir les autorités locales qui ont lancé une enquête afin d’identifier ce mystérieux personnage. Pour le Mouvement unifié noir ou le collectif Vidas Negras Importam (« La vie des noirs compte »), la messe est dite : le KKK a infiltré le mouvement bolsonariste, jugé par ses détracteurs comme étant sensible aux thèses raciales propagées par cette organisation. Ayant eu pignon sur rue durant toute la première moitié du XXème siècle, les klans ont longtemps joué les « faiseurs de rois » de shérifs, de conseillers municipaux, de gouverneurs et mêmes de présidents aux États-Unis. [...]

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