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Entretien exclusif avec Romain Espino de Génération identitaire, victime de cyber-harcèlement

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Porte-parole de Génération Identitaire, Romain Espino a subi une campagne de cyber-harcèlement suite à l’opération « Stop Migrants Alpes » qui s’est tenue au col de l’Echelle samedi 21 avril 2018.  Plusieurs comptes twitter anonymes ont ainsi diffusé l’adresse et le numéro de son employeur dans l’objectif d’obtenir son licenciement. Nous avons tenu à recueillir ses impressions.

 

Regrettez-vous, après coup, d’être apparu à visage découvert lors de votre opération dans les Alpes, ou assumez-vous toujours pleinement votre engagement militant ?

 

Je ne regrette rien. Je milite depuis 8 ans, je ne me suis jamais caché et ai souvent répondu aux sollicitations des médias à visage découvert et encore plus quand j’ai eu l’occasion de prendre la fonction de porte parole du mouvement de façon officielle. Génération Identitaire met en avant et propose des solutions sur les principales préoccupations des Français à savoir, la sécurité, l’identité et l’immigration.

L’homme est-il un cyborg comme les autres ?

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Tribune libre des jeunes du Parti Chrétien Démocrate

 

Julien Rochedy, dans un article récemment publié sur son blog, a eu la bonne idée de s’intéresser à la question de l’intelligence artificielle suite à sa lecture du livre de Laurent Alexandre : La guerre des intelligences. Bilan ? Il en sort sous le charme, absolument séduit par le bon docteur dont il juge le livre « très convainquant ». Dont acte.  L’objet de son papier est de démontrer aux conservateurs que l’on ne doit pas s’interdire de recourir à l’IA par fausse pudeur ou demi-humanisme puisqu’il faudra, d’une manière ou d’une autre, faire face à cette question dans les années à venir. D’ailleurs, rappelle-t-il, nous sommes déjà en retard sur les États-Unis et la Chine. On retrouve dans cet article la même stratégie argumentative que celle employée par Laurent Alexandre : une première couche de « nous n’avons pas le choix, c’est un mal nécessaire » puis une seconde couche de « c’est une opportunité inespérée ».

Le Rwanda vu par Ancel, l’histoire révisée de l’opération Turquoise

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Les 15, 16 et 17 mars dernier, à l’approche du 24ème anniversaire du génocide rwandais (déclenché le 7 avril 1994 au lendemain de l’assassinat du président rwandais Juvénal Habyarimana et de son homologue burundais),  le journal vespéral Le Monde a publié pas moins de six articles sur le sujet sous la plume d’un journaliste, David Servenay, connu depuis des années pour son parti pris en faveur de la thèse d’une culpabilité de la France dans le génocide rwandais.

 

Cette année, l’habituelle campagne de presse avait un objectif particulier ; celui d’accompagner le lancement d’un livre, plus exactement d’une réédition, sous un nouveau titre, du récit romancé d’un ancien officier de l’opération Turquoise. Après avoir en effet connu un échec lors du lancement de « Vents sombres sur le lac Kivu » en 2014, pour le 20ème anniversaire du génocide, Guillaume Ancel récidive avec « Rwanda, la fin du silence » publié aux « Belles Lettres », dans la collection –excusez du peu !-

Les retraites ont besoin d’une réforme systémique. Oui, mais laquelle ?

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De retour du colloque organisé au Sénat sur la réforme des retraites, où l’on m’avait demandé d’intervenir, je suis frappé par le peu de place que les intervenants, dans leur majorité, accordèrent à la démographie et à l’investissement dans la jeunesse. Il me semble donc utile de rappeler, comme je l’ai fait au Sénat, mais de façon plus organisée qu’au cours d’une table ronde, la façon dont fonctionnent les retraites par répartition, au-delà des artefacts juridiques, et la nécessité pour le législateur de comprendre et respecter ces réalités économiques finalement assez simples.

 

L’utilisation du mot « réforme »  

 

La loi a été utilisée à diverses reprises pour modifier des paramètres de gestion des régimes, tels que les âges de la retraite et le nombre de trimestres nécessaires pour accéder au taux plein. C’est une erreur. La gestion doit être laissée aux gestionnaires, qui doivent être responsables, et donc sanctionnables.

Au Mirail, les « réunions non mixtes » sont le quotidien

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Deuxième partie semaine politique de L’Incorrect

 

Toulouse Le Mirail. Un quartier et une fac. Deux mythes de la ville rose, le plus souvent pour le pire. Ces derniers jours, les étudiants de l’Université Jean Jaurès, qu’ici tout le monde surnomme « la fac du Mirail », et les « jeunes des cités » vivant à proximité de cette vénérable institution, dont vous devinerez aisément le sobriquet, se sont fait remarquer internationalement. Oui, Toulouse a eu droit aux faveurs des télévisions du monde entier. Ce n’était plus arrivé depuis … la série d’attentats islamistes perpétrée par Mohamed Merah.

 

Lire aussi JEAN-LUC CORONEL DE BOISSEZON : « NOUS SOMMES OFFERTS EN BOUCS ÉMISSAIRES PAR UN GOUVERNEMENT ACCULÉ À DONNER DES GAGES À SES PLUS VIOLENTS OPPOSANTS »

 

À la fac du Mirail, ZAD universitaire depuis plusieurs décennies – en dépit de professeurs d’exception, ainsi que l’était l’hispaniste Bennassar -, le blocus a été un peu moins médiatisé qu’à Tolbiac, bien qu’il lui soit assez comparable.

Gauchistes, bloqueurs, autonomes, journalistes : les idiots utiles de Macron

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Première partie de la semaine politique de L’Incorrect

 

Les températures pré-caniculaires de ce mois d’avril auront-elles eu raison de la santé mentale du Lider Maximo de la gauche vraiment de gauche, Jean-Luc Mélenchon ? « Le gouvernement ne doit plus ménager Le Pen. Il doit réprimer les terroristes d’extrême droite qui préparent des assassinats d’élus et attaquent les étudiants dans leurs facs », a-t-il ainsi écrit sur Twitter jeudi 19 avril 2018. Notre-Dame-des-Landes ? Tolbiac ? Le Mirail ? Circulez, il n’y a rien à voir pour Jean-Luc, persuadé que la France est au bord de la révolution en cette période de cinquantième anniversaire de Mai 68. Sauf que ce n’est pas exact.

 

Tous les regards se sont focalisés sur les blocages de facultés et sur les problèmes liés aux autonomes de Notre-Dame-des-Landes parce qu’Emmanuel Macron a bien voulu qu’il en soit ainsi.

L’Incorrect numéro 73

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