Skip to content
Les zéros sociaux : Beurs sur le web

Les réseaux sociaux nous font souvent rire. Il y a tant d’idiots qui y sévissent : doux-dingues, complotistes comiques, pornographes à la petite semaine, cuisiniers amateurs ou idéologues du dimanche. Il arrive aussi malheureusement que les réseaux sociaux nous fassent peur. Samuel Paty en a perdu la vie, décapité en pleine rue par un réfugié tchétchène excité par ses coreligionnaires qui ont lancé une cabale sur YouTube, Twitter et Facebook.

Il est mort parce que des dégénérés sortis des âges les plus barbares ont confondu la France avec un de leurs shithole countries. Lesquels dégénérés ont, comme la poule avec son couteau, accès aux nouveaux moyens de communication qu’ils utilisent abondamment pour nuire à leur prochain, se plaindre, geindre et se placer en victimes. [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Comment j’ai fini par manifester, par Patrick Eudeline
Le septième arrondissement. Des rues quasi-noires, malgré Noël, comme il est de coutume depuis les écologistes. Noires et désertes. Quelques rares silhouettes tristes qui se pressent, dos baissé, muselées, le long de boutiques fermées. Ne manque que le déchirant hululement des sirènes d’alarme pour que le tableau soit complet. Enfin, ils sont là. Une manif […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Lettre de Mgr Ginoux aux prêtres et aux paroissiens

A Messieurs les curés et aux Paroisses

                                            Chers frères prêtres, chers paroissiens,

Dans les toutes récentes décisions du gouvernement nous sommes obligés de prendre note des restrictions qui concernent les messes publiques. Je déplore profondément que le gouvernement refuse d’entendre l’Église Catholique et les autres cultes et ignore ouvertement  ce que signifie pour nous l’Eucharistie. Limiter, sans tenir compte du lieu, à 30 fidèles la participation à la messe est une atteinte à la liberté de chacun.

Le Concile Vatican II rappelle que « l’accès libre aux sacrements dérive directement du droit à la liberté religieuse » Déclaration sur la liberté religieuse n°13.Le texte ajoute « que l’Église jouisse de toute la liberté d’action dont elle a besoin pour veiller au salut des hommes ».

De la loi de Séparation de l’Église et de l’État (1905) résulte que le gouvernement n’a pas à intervenir dans le culte ni dans ses modalités, étant sauf l’ordre public.

L’IncoDico – le mot du mois : Attachiantes

« Catherine, 50 ans et divorcée deux fois de deux gros cons. Oui, je suis un peu fofolle, un peu fun, attachante… et un peu chiante. Attachiante ? Ça me correspond bien. Attention : qui s’y frotte s’y pique ! » peut-on lire sur des dizaines de milliers de profils de sites de rencontres. Des femmes se sont trouvé un trait de caractère fondamental qu’elles ont résumé en un néologisme qui les unit toutes : attachiantes. Dans ce mot, ce n’est pas la première partie qui est à retenir, c’est la seconde. Elles sont d’abord et avant tout chiantes, casse-bonbons, casse-noix, casse-couilles.

Lire aussi : L’IncoDico – le mot du mois : Sah[...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Mgr Marc Aillet : « C’est un affront public fait aux cultes »

Ce matin, le Premier ministre Jean Castex a annoncé les messes seront limitées à 30 fidèles jusque mi-décembre, et ce alors que la période de l’Avent commence. Quelle a été votre réaction ?

J’ai été sidéré, d’autant que ça remet en cause la parole présidentielle. Le président de la République a assuré à Monseigneur de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques, mardi soir après avoir été interpellé par ce dernier, qu’il allait donner des directives à son gouvernement pour réviser cette jauge et en établir une plus réaliste, même si elle demeurera stricte, en deux temps pour la reprise dès le 28 novembre et puis le 15 décembre. Mais finalement, je vois que rien n’a bougé. Cette annonce met donc en cause la fiabilité de la parole présidentielle d’une part, et montre le mépris – je ne vois pas d’autre mot à employer – pour des millions de croyants qui sont privés de cette liberté essentielle qui est la liberté de pratiquer le culte, comme si les cultes n’avaient aucun intérêt dans la société. On savait déjà que ça n’était pas considéré comme étant une chose essentielle pour le gouvernement technocratique, mais c’est un affront public fait aux cultes que de leur imposer une jauge qui est absolument irréaliste et inapplicable comme l’a déclaré la Conférence des évêques de France à l’issue de ce discours.

La Conférence des évêques a-t-elle été consultée par le gouvernement avant cette annonce ?

Mardi soir, Emmanuel Macron a appelé à 23h44 le président de la Conférence des évêques de France en lui disant qu’il croyait que c’était la Conférence qui avait convenu de cette jauge de 30 personnes avec ses services. Et qu’il allait donner des directives à son gouvernement pour qu’une jauge plus réaliste soit établie. Mgr de Moulins-Beaufort a publié tout ça de manière officielle hier matin. Donc là, on est vraiment dans un flou artistique qui est quand même étonnant. Je pense qu’il y a du mépris. En plus, Jean Castex ose dire pour justifier cette mesure qu’il est bien connu que les lieux de culte sont des lieux de grande contamination. D’où est-ce qu’il sort ça ? Aucune étude ne l’a précisé, et il parait évident qu’aucun cluster n’a été identifié dans nos assemblées, ce qui serait pourtant facile puisque ce sont des fidèles habitués qui fréquentent nos églises et qui se connaissent tous. Il n’y a jamais eu de cluster identifié, donc je voudrais bien qu’il apporte la preuve précise, statistique et scientifique pour pouvoir avancer une telle contre-vérité. [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Maradona, le gamin en or

De Naples à Buenos Aires en passant par Soweto, Alger, Mexico, Barcelone ou Téhéran, Maradona était aimé et admiré, pour ses prouesses sur les terrains comme ses frasques en dehors. Hormis en Angleterre - pays qu’il a privé d’une première demi-finale depuis la Coupe du Monde 1966 en 1986 avec sa « main de Dieu » avant d’inscrire un but individuel en forme d’exploit homérique, dans le contexte particulier qui faisait suite à l’humiliation de la Guerre des Malouines – et en Italie du Nord, le numéro 10 sud-américain suscitait un culte quasi religieux, irrationnel.

Tout lui était pardonné : la consommation de cocaïne et de prostituées, ses liens avec la camorra napolitaine, ses ménages chez les dictateurs luttant contre l’impérialisme américain dans le monde entier, ses crises de colère, ses prestations moyennes en tant qu’entraîneur de l’équipe d’Argentine qu’il a conduite à une défaite cruelle contre l’Allemagne en 2010 lors de la Coupe du Monde sud-africaine, ses élans mystiques et ses accès de violence. On lui pardonnait parce qu’il était humain, simple humain doté d’un don du bon Dieu. [...]

Éric Didio : « CredoLending, c’est un peu le banquier des projets chrétiens ! »

Il y a deux ans, vous présentiez à L’Incorrect CredoFunding, qui permettait de mettre en relation des porteurs de projet avec des donateurs. Aujourd’hui, vous lancez CredoLending : quoi de neuf ?

CredoLending, c’est un peu le banquier des projets chrétiens ! C’est une marque de CredoFunding qui offre, d’un côté une solution de financement aux porteurs de projets qui œuvrent dans la communauté chrétienne et plus largement au service du bien commun, et d’un autre côté la possibilité à chacun (personnes physiques ou personnes morales) d’apporter les ressources financières nécessaires à ces projets en investissant dans des projets sur la plateforme CredoLending.fr. Autrement dit, nous faisons l’intermédiaire entre le financé et le financeur. Nous sommes très attentifs à l’analyse des projets sélectionnés en amont afin de s’assurer d’un modèle d’affaires pérenne garantissant une bonne finalité de chaque opération.

Comment en êtes-vous venu à lancer le prêt ?

Jusqu’en 2015, les banques avaient encore le monopole. Devant les 5 000 milliards d’euros d’épargne des ménages en France, il paraissait intéressant de proposer une autre voie que celle classique des placements bancaires. Alimenter en ressources financières les initiatives fécondes de la communauté chrétienne autrement que par le don permettait d’augmenter significativement les leviers des collectes et ainsi accompagner dans leur développement encore plus de projets avec des moyens plus conséquents. [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Sauvez la planète, gardez vos couilles au chaud !

Espace Diversités Laïcité de la ville rose s’est fait une spécialité de dépenser l’argent public de la manière la plus absurde. Lieu d’accueil et d’information assurant les permanences juridiques du CRAN, du défenseur des droits et des associations LGBT, ce site de 2 200 mètres carrés dans le quartier Saint-Aubin sert aussi de lieu de réunion à la Mission égalité diversités ou encore au Conseil toulousain des résidents étrangers.

Au rez-de-chaussée, se trouve un « bureau de permanences d’accès au droit ». Au deuxième étage, le centre LGBT. Les troisième et quatrième étages accueillent les bureaux de la Mission égalité diversités. Origine et immigration, droits humains, genre et orientation sexuelle constituent l’essentiel des activités de cet endroit richement doté.

Nouveaux venus sur le marché du féminisme intégral, les passionnés de contraception masculine se font connaître depuis quelques années. L’an passé, La République du Centre consacrait un article au « slip contraceptif promu par le Planning familial du Loiret » créé par le collectif Tomas Bouloù (remonte-couilles en breton), allant à la rencontre des hommes venus confectionner eux-mêmes leur petit string thermique au Centre régional d’information jeunesse de cette bonne ville d’Orléans, où les pucelles ne sont plus légion. [...]

La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter

Vous souhaitez lire la suite ?

Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !

Formule Intégrale

À partir de 5,80€ / mois

  • Papier
  • Web
  • Tablette
  • Mobile
Formule numérique

À partir de 4,10€ / mois

  • Web
  • Tablette
  • Mobile

L’Incorrect

Retrouvez le magazine de ce mois ci en format

numérique ou papier selon votre préférence.

Retrouvez les numéros précédents

Pin It on Pinterest