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“Tout policier musulman au comportement salafiste doit être exclu de l’institution »

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Publié le

9 octobre 2019

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Face aux événements préoccupants qui secouent l’institution policière française, le commissaire P., haut-gradé de la hiérarchie de l’Intérieur, sonne l’alerte.

 

Le cas de Mickael Harpon révèle-t-il une situation inquiétante à’ l’intérieur des services de renseignement et de la police en général ou ne s’agit-il que d’un cas isolé ?

Dans le passage à l’acte, le cas Harpon est heureusement un cas isolé. Mais aucun policier ne peut nier la réalité de la radicalisation des modes d’expression de l’islam dans les services de police.

Il y a toujours eu des musulmans chez les policiers. Le fait nouveau est double:

– le recrutement de policiers s’est largement démocratisé, notamment avec l’arrivée des emplois contractuels d’adjoints de sécurité ou de cadets de la République qui bénéficient de largesses lorsqu’ils passent les concours en interne.

Comme ils sont plus nombreux et que la pratique de l’islam se radicalise en France, l’expression de leur religion est moins discrète, plus offensive.

Comme ces personnels sont souvent recrutés dans les couches populaires et immigrées, on assiste depuis quelques années à une arrivée massive de jeunes musulmans dans les services de police afin de coller à l’ère du temps. La police se doit d’être diverse.

– Comme ils sont plus nombreux et que la pratique de l’islam se radicalise en France, l’expression de leur religion est moins discrète, plus offensive.

Ils affirment leurs droits religieux ouvertement : le fait de pouvoir bénéficier de régimes spéciaux lors des moments de convivialité (absence lors des pots au cours desquels de l’alcool est servi, absences ou grosse fatigue assumée lors du ramadan…). Critiqués, Davet et L’Homme avaient vu juste dans leur livre « Inch Allah ».

Se pose aussi le problème des convertis dans la police : quand le policier ou l’agent administratif de base se convertit à l’islam, il le fait par ses propres moyens, en s’informant sur les réseaux sociaux, en écoutant les prêches des imams financés par les frères ou les pétromonarchies du golfe sur YouTube.

Se pose aussi le problème des convertis dans la police : quand le policier ou l’agent administratif de base se convertit à l’islam, il le fait par ses propres moyens, en s’informant sur les réseaux sociaux, en écoutant les prêches des imams financés par les frères ou les pétromonarchies du golfe sur YouTube.

Comme les recrutements sont moins, voire pas, sélectifs, des gens peu éduqués sont recrutés en masse . Ils sont sous payés, mal logés, mal employés, ne voient aucun sens dans ce qu’ils font. Ils sont des proies faciles pour les charlatans du djihâd.

 

Lire aussi : La France déséquilibrée

 

Comment les services de l’Etat peuvent-ils réagir ? On ne va pas surveiller tous les agents, ou dénoncer tous ses collègues…

 

La culture française du padamalgame, le matraquage depuis le plus jeune âge sur la diversité, le vivre ensemble ont conduit les policiers à taire les comportement déviants de peur d’être marqués au fer rouge, d’être catalogués comme extrémistes de droite, insulte suprême dans notre pays et gros frein à l’avancement et la promotion dans notre institution.

Ce type d’événement tragique, la vagues d’attentats de 2015 et la propagation de discours et pensées alternatives au progressisme et au gauchisme font évoluer les mentalités dans la police. Le flic de base ne veut plus taire les débordements, notamment ceux de l’islam.

Tout policier musulman au comportement salafiste doit être exclu de l’institution même lorsqu’il n’a pas commis d’infraction.

Le policier est prêt à dénoncer les véritables comportements dangereux de ses collègues. Il faut maintenant que la hiérarchie policière regarde la réalité en face et accepte de signaler, condamner et sanctionner les signaux faibles.

Tout policier musulman au comportement salafiste doit être exclu de l’institution même lorsqu’il n’a pas commis d’infraction. On interdit bien au policier de vivre avec un tenancier de bar sous peine d’exclusion, pourquoi pas faire la même chose avec celui qui assiste au prêche d’un imam dangereux et fiché?

Pourquoi ne pas placer sur écoute administrative un policier sur qui pèsent des soupçons de radicalisation, pourquoi ne pas piéger son ordinateur ou son téléphone pour le surveiller puisque le droit nous l’autorise?

L’inspection générale devrait passer plus de temps à travailler sur ces cas plutôt que de s’acharner sur le policier qui, à bout, a giflé un voyou ou a chassé un scooter sur lequel un individu roulait sans casque et s’est encastré dans une voiture en fuyant un contrôle légitime .

 

Lire aussi : Immigration : débat à retardement

 

Est-ce le résultat d’une incompétence ou d’une lâcheté – ou des deux ?

 

Il ne s’agit pas d’incompétence : la police est plutôt efficace, surtout dans le domaine de la lutte contre l’islam radical.

Les policiers sont dirigés par des cadres nommés par les pouvoirs en place. Pour monter, cette hiérarchie se montre docile et refuse de faire des vagues par peur de déplaire au pouvoir.

Il ne s’agit pas de lâcheté, mais de phénomène de cour: moins j’amène de problème au ministre, moins je déplais, plus vite je monte.

Les informations remontent et sont édulcorées au fur et à mesure qu’elle arrivent dans les strates supérieures du pouvoir.

Il ne s’agit pas de lâcheté, mais de phénomène de cour: moins j’amène de problème au ministre, moins je déplais, plus vite je monte.

Avec un peu plus de courage, en regardant la réalité en face, on pourrait lutter efficacement et chirurgicalement contre l’islam conquérant dans toutes les strates de la société, mais surtout au sein de la police.

 

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