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La fin de l’oxydant : plaidoyer pour un retour de l’occident chrétien (1/3)

Il ne se passe pas de jour sans que politiciens et médias ne nous parlent de « l’Occident », des « pays occidentaux », du « monde occidental », spécialement à propos de l’Ukraine, de la Russie, et de la guerre opposant « l’Occident » à cette dernière sur le territoire ukrainien. Ici est « l’Occident », qui est le bien ; là est la Russie, « l’Orient » peut-être, qui est le mal. Mais au fait : qu’est-ce que cet « Occident » ?

L’Occident, terre d’élection du christianisme

Longtemps ce terme, attaché à la course du soleil, a désigné un espace géographique, politique, culturel et religieux qui s’identifiait globalement à l’Europe. La tradition chrétienne voyant dans le soleil naissant, à l’Orient, l’image du Christ venant illuminer « ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort » (Antienne « O Oriens » du temps de l’Avent). L’Occident était l’Europe éclairée par le christianisme.

L’Occident était, pour ses peuples, la résultante structurante de « valeurs ». Non pas de « valeurs » éthérées, proclamées dans des Déclarations ou usinées par des idéologies, mais de valeurs vivifiantes, puisées aux sources de la Révélation biblique et assumant sagesses gréco-romaines et traditions germaniques. Pie XII disait que l’hellénisme était « la racine et la culture naturelle de l'Occident », tandis que le christianisme était sa « culture spirituelle ».

L’Occident conjuguait dès lors l’éducation au vrai, au bien et au beau, l’amour des lettres des arts, des « humanités », et une « culture » qui n’était pas étrangère à la terre à laquelle son étymologie renvoyait. Il était édifié sur le sens et le respect de la famille, construite autour d’un père et d’une mère, fondée sur la pieuse mémoire des anciens, sur l’accueil spontané et la communication naturelle d’une tradition vivante. Celle-ci, qui enracinait et obligeait, s’exprimait par des langues, des récits, des légendes, des exempla et du droit même, toutes choses qui contribuaient à forger des identités humaines solides et variées. [...]

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Gabriel Robin censuré par Twitter

Votre compte Twitter, où vous parlez notamment de la guerre en Ukraine, mais aussi d'autres thèmes comme la politique française, était très actif. Il a récemment été censuré. Pourquoi ?

J'ai mis en ligne deux fois une vidéo d'une de mes interventions à CNews où je déplorais la détérioration de l'attractivité touristique française, notamment sur le plan de la délinquance. Sur la première vidéo mise en ligne, j'avais légendé : « La source de l'insécurité en France porte un nom : l'immigration. Tout le monde le sait et c'est une évidence. Il faut d'abord l'arrêter avant de pouvoir espérer rendre aux Français la tranquillité qu'ils méritent ». Ce tweet a eu un énorme succès avec un total de plus de 100 000 interactions. Durant mon intervention, je m'appuyais non pas sur un jugement de valeur vis-à-vis de l'immigration en général, mais des chiffres du Ministère de l'Intérieur relatifs à la criminalité à Paris.

Encore hier, un touriste a été victime d'une tentative de vol de sa Rolex par deux mineurs isolés marocains de 16 et 17 accompagnés par un Algérien de 27 ans. Je citais également durant l'émission l'exemple de cette touriste américaine violée dans des toilettes publiques par un Algérien. Oui, l'immigration récente provoque des problèmes de criminalité et de délinquance dans Paris !

Mes paroles s'inscrivent dans un débat sur l'immigration nécessaire en France.

Dans vos propos, on ne voit a priori  rien de répréhensible. Pourquoi seraient-ils la cause de votre censure ?

Vous avez raison : selon moi, il n'y a rien que Twitter puisse condamner ici, en matière de haine. Je ne cite pas nommément un groupe d'immigrés en particulier, je ne cite pas de nationalité, j'expose simplement le phénomène migratoire. Or, Gérald Darmanin a récemment tenu des propos tout à fait similaires ! Il parlait lui aussi du lien entre insécurité et immigration. Selon moi, ce n'est donc pas Twitter qui a décidé de me censurer puisque tous les jours, de tels propos sont relayés. [...]

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Alice Cordier : « Les femmes européennes sont traitées comme de véritables proies »

Qu’est-ce qu’être une féministe de droite ? Le féminisme peut-il être conservateur ?

Être féministe de droite, revient à prôner un combat basé sur la raison et le pragmatisme. Aujourd’hui, le féminisme est pris en étau entre deux grands courants : le féminisme radical qui est misandre et qui prône un système séparatiste entre les hommes et les femmes, et le féminisme intersectionnel que l’on pourrait appeler la convergence des luttes entre les minorités oppressées et qui permet notamment d’intégrer le voile ou les personnes transsexuelles dans les luttes féministes. On se rend vite compte de la limite de ces deux formes de féminismes, toutes deux soumises à une idéologie d’extrême gauche.

Lire aussi : Dora Moutot : « La théorie du genre est un grave recul pour les femmes »

Une troisième voie est possible, si l’on revient d’abord à l’essence du féminisme : l’accès à l’égalité des droits entre les hommes et les femmes et la quête d’une amélioration des conditions de vie des femmes. Vider le féminisme de toute forme d’idéologie et se recentrer sur le réel : des faits, des chiffres, des statistiques et en définir les solutions qui en découlent. Arrêter de chercher la déconstruction et de nier d’où l’on vient, arrêter de brimer notre nature et les aspirations qui en découlent. En somme, un féminisme pragmatique et ordonné, un féminisme de droite donc. Le féminisme de droite peut être conservateur quand il s’agit d’honorer notre histoire (qui est si riche en modèles féminins) plutôt que de la déconstruire, mais aussi dans le fait de prôner la complémentarité homme/femme plutôt que de mettre ces deux forces en opposition.

Dépecé par le féminisme depuis cinquante ans, le patriarcat européen est désormais remplacé par une domination clanique africaine et maghrébine. Quel impact cette substitution a-t-elle sur votre vie quotidienne ?

L’impact du patriarcat extra-européen se ressent aujourd’hui dans l’espace public pour énormément de femmes en France. C’est aussi le cas dans bon nombre d’autres pays de l’UE, comme en Allemagne où on se rappelle des agressions de Cologne le soir de la Saint Sylvestre en 2016, mais aussi en Angleterre avec les grooming-gangs, ces prédateurs sexuels pakistanais qui enlèvent et violent des femmes et enfants (et dont on s’est rendu compte que les pouvoirs publics avaient cherché à taire l’ampleur par peur d’être taxés de racistes). Pour revenir à notre pays, cette domination et ce sentiment de supériorité de la part d’hommes extra-européens se ressentent par le biais du harcèlement de rue où les femmes européennes sont traitées comme de véritables proies. C’est le cas dans les métropoles mais de plus en plus dans les communes de densité intermédiaire. Rappelons qu’en Île-de-France en 2019, selon le bilan du ministère de l’Intérieur, 63 % des agressions sexuelles dans les transports en communs sont le fait d’étrangers. À ce titre, on voit proliférer les stages d’apprentissage aux méthodes de self-défense, une explosion des inscriptions féminines aux sports de combat et ce chiffre amer : sept femmes sur dix souhaitent la légalisation d’objets de légitime défense selon une étude Yougov du 17 mars. [...]

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L’hérésie populiste (4/4) : pourquoi une gauche populiste n’est pas viable ?

Plutôt que le prolétariat, le « peuple » : l'analyse de Laclau a été pleinement reprise en Espagne par le groupe d'extrême gauche Podemos, qui a vu dans ce schéma un excellent outil pour reconstituer les rangs ruinés de la vraie gauche. Une opération admirable : des millions de personnes qui votaient autrefois pour la droite, mais qui sont aujourd'hui ruinées par la crise, pouvaient désormais pencher vers un mouvement transversal. Or, il est très significatif que la manœuvre ait fini par dégénérer en ce qu'elle est aujourd'hui : il n’y a aucune transversalité, mais uniquement la récupération intégrale des vieux clichés de la gauche radicale, l’écrasement des traits proprement populistes sous le poids d'une base militante qui veut seulement être « rouge ». L'expérience du gouvernement de Podemos dans les municipalités et les régions donne la mesure de cet échec. Cet échec peut se résumer ainsi : la gauche n’est pas parvenue à cesser d’être la gauche.

Il faut insister sur le processus social et politique qui nous a conduits jusque là. La répétition pourra peut-être servir de point d’orgue à l'analyse. De même que la droite a fini par trahir la nation, c'est-à-dire le peuple historiquement et politiquement constitué, la gauche a complètement oublié qui est vraiment le « peuple », ce qu'est la « classe ouvrière ». Il faut rappeler que ceux qui ont opéré le grand miracle de la transformation socio-économique dans tout l'Occident entre 1950 et 1970 n'étaient pas des activistes LGBT ou des apôtres du métissage, mais des Européens de souche (et fiers de l’être), au visage blanc (normalement noirci par le travail), des hétérosexuels avec des enfants, pour la plupart chrétiens (du moins dans leur référence au bien et au mal) et avec une idée bien matérielle, qui n’avait rien d’idéologique, de la liberté et de la prospérité. Ces générations ont réussi à réduire au minimum l'écart social ; ils furent le matériau avec lequel furent exécutées les grandes politiques de reconstruction, aussi bien dans l'Allemagne sociale-démocrate que dans l'Espagne franquiste ou dans « l'Amérique des opportunités ». D'un certain point de vue, ils ont été les héros de la seconde moitié du XXe siècle. Voilà ce qu’était le peuple. Le seul peuple réellement existant.

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Cam-girls, dominatrices, sexe virtuel : la prostitution au carré

La décision de la Cour de cassation de Paris est passée inaperçue et pourtant elle semble donner raison aux pornographes 3.0 et au fameux « monde d’après » qui se gargarise toujours plus de chair numérique. Le 18 mai, la plus haute juridiction a en effet estimé après délibération que le fait de monnayer ses charmes virtuellement ne relevait pas de la prostitution, rejetant la demande de la Confédération nationale des associations familiales catholiques qui réclamait que ces activités soient davantage encadrées. Ouf ! les camgirls et surtout les plateformes qui hébergent leurs contenus et facilitent leurs transactions (en prenant au passage un pourcentage pas du tout symbolique) vont pouvoir dormir sur leurs deux oreilles. Elles ne sont pas des putes, ils ne sont pas des maquereaux. Tout au plus des adultes consentants qui échangent de bonnes pratiques au fil de vertueuses contractualisations.

Vidéodrome

C’est oublier qu’à Budapest ou à Miami, ces mêmes plateformes, dont beaucoup sont la propriété du géant du porno Mindgeek, ont bâti de véritables « vidéodromes » dans lesquels ces starlettes de la webcam sont parquées et condamnées à répéter toute la journée les mêmes positions, devant un parterre conséquent de voyeurs tapis derrière leurs écrans. C’est oublier que ces nouvelles méthodes menacent dangereusement la santé mentale des jeunes filles, en s’invitant dans les chambres d’adolescentes, en démocratisant des pratiques extrêmes sous couvert de « safe sex » (sexe sans contact) et en les exposant souvent aux fantasmes d’internautes dégénérés qui en veulent toujours plus, protégés par l’anonymat. [...]

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L’hérésie populiste (3/4) : une version gauchiste du populisme

Christopher Lasch était un homme qui venait de la gauche américaine. En dépit de son propre itinéraire, il n'a pas envisagé d'alternative à cette situation pouvant venir de la gauche ; il est revenu au populisme d'il y a un siècle. Pourquoi ? Précisément parce qu'il venait de la gauche. Il savait que celle-ci, dans la dernière ligne droite du XXe siècle, n'était plus capable d'offrir une véritable alternative. En effet, la gauche occidentale a cessé d'être une puissance transformatrice ou, du moins, a cessé de l'être en termes de « peuple ». Récapitulons : les politiques de développement économique et social de la période d’après-guerre ont eu le mérite de créer une situation nouvelle dans laquelle les déshérités du capitalisme sont finalement entrés dans le système. Ce fut un processus pratiquement simultané dans toute l'Europe, sous des politiques à la fois chrétiennes-démocrates et sociales-démocrates ou autoritaires (en Espagne, ce fut l’époque du développementalisme de Franco). De là est née une classe moyenne très étendue qui a décrété l'extinction de la guerre des classes et neutralisé toute possibilité de révolution parce que, tout simplement, personne n'en voulait. Le prolétariat avait cessé d'exister en Occident. Sans prolétariat à racheter, la gauche est demeurée littéralement suspendue dans le vide.

À partir de ce moment-là, la nouvelle gauche des années 1960 et 1970 s’est mise à la recherche d'une nouvelle opposition dialectique à laquelle s'accrocher : les jeunes contre les vieux, les femmes contre les hommes, les noirs contre les blancs, les colonies contre leur métropole (les « damnés de la terre » de Franz Fanon), les homosexuels contre les hétéros, etc. La lutte pour l'émancipation du prolétariat s'est déplacée vers d'autres continents, vers d'autres « collectifs » en quête d'émancipation. Une grande partie de « l'idéologie du genre » qui est maintenant imposée en Occident avec la bénédiction officielle des pouvoirs publics vient précisément de là. À tous points de vue, personne ne peut douter que cette gauche postmoderne ait triomphé : son discours a été pleinement accepté par le système au point de devenir une référence incontournable de toute « correction politique ». Cependant, le coût de cette évolution a été brutal en termes politiques et idéologiques. En effet, non seulement ces nouvelles positions dialectiques ne nuisent pas au système de production, mais elles le renforcent, dans la mesure où elles brisent toute solidarité de classe et accentuent cette mentalité de consommation individualiste qui alimente la machine du capitalisme. Ainsi, la gauche radicale a fini par devenir une masse de manœuvre du système.

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Sait-on encore ce qu’est une femme ?

Curieuse idée pour L’Incorrect que d’avoir voulu consacrer un dossier aux femmes. Car, oui, je vous le demande, ce mot a-t-il encore un sens ? Cette introduction pourrait prêter à sourire, mais le débat agite les États-Unis depuis le printemps. Un documentaire, intitulé What is a woman ?, d’ailleurs montré au grand jour l’ampleur des accommodements sémantiques face la pression du militantisme LGBT.

Le processus de ce glissement lexical est désormais classique. On a commencé d’abord par expliquer qu’il existait quelques rarissimes personnes dont la biologie échappait à la trop binaire distinction homme/femme, puis on a présenté la féminité comme un attribut partiellement social et donc pas complètement représenté par la biologie, avant finalement d’affirmer tout de go que la notion de sexe biologique y était secondaire. La page Wikipedia « Femme » enregistre cet inexorable glissement de définition lorsqu’elle affirme : « Une femme est un être humain de sexe ou de genre féminin ». [...]

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Nouvel ambassadeur aux droits LGBT+ : quand la démocratie s’en va-t-en guerre

Elisabeth Borne, ci-devant Premier ministre, l’a promis en cette journée du 4 août : « Avant la fin de l'année », ce qui en indique l’importance, un « ambassadeur aux droits LGBT+ » sera nommé. Je suppose que le soulagement de chacun sera grand ; c’est qu’au rang des urgences sociales présentes, celle-ci primait absolument. Après tout, ce n’est pas comme s’il y avait d’innombrables fractures à colmater et d’innombrables souffrances à soulager.

Si quelqu’un nourrissait encore l’illusion de n’être pas gouverné par des fous, pour qui l’idéologie l’emporte absolument et toujours sur le réel, voilà qui devrait contribuer à l’en guérir.

Par définition, un ambassadeur est un serviteur de son pays, qu’il représente. Ainsi donc ce pays, celui de l’histoire de nos pères et de nos enfants, sera gratifié d’un nouveau représentant, fine fleur de son identité présente : un vrai « diplomate », donc, sur les traces de Richelieu, de Colbert, de Chateaubriand et de Lamartine même, ou encore de Tocqueville, rattaché au « ministère de l'Europe et des Affaires étrangères ». Vous me direz qu’il y eut aussi Talleyrand, une « merde en bas de soie », selon le mot de Napoléon. Comme quoi, il y a tradition diplomatique et tradition diplomatique. [...]

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L’Incorrect numéro 73

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