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Enquête : le patrimoine des Pécresse
Les candidats à la présidentielle sont tenus de déposer le compte de leur patrimoine à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Valérie Pécresse ayant été réélue en juin 2021, sa déclaration devrait déjà être en ligne. Malheureusement, la HATVP est en retard. La faute à une insuffisance de moyens. Soit. […]
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Enquête : Patrick Drahi, ou le quatrième pouvoir fiscalisé à l’étranger
Le Sénat a créé une commission d’enquête sur la concentration des médias en France. Depuis début janvier, elle a lancé un cycle d’audition des grands actionnaires et dirigeants des principaux médias français. Le 2 février, c’était au tour de Patrick Drahi de plancher devant les sénateurs. Il s’est livré à un festival digne d’un camelot. […]
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Vente d’Alstom Renouvelables : combien ont touché les Pécresse ?

Mme Pécresse a assuré le 10 janvier sur France Info qu’elle ne travaillerait « jamais » pour des intérêts étrangers. Elle n’en a pas besoin car elle a déjà été enrichie par un groupe étranger du nom de General Electric. Grâce au rapport annuel 2016 d’Alstom, nous savons qu’en 2015 les cadres dirigeants du groupe ont reçu 35 millions d’euros de primes liées à la vente de sa division Energies Renouvelables. Patrick Kron, alors PDG, a perçu la part du lion de ces primes, mais il en restait pour les copains. Et notamment Jérôme Pécresse, président d’Alstom Renouvelables, qui a bénéficié de 430 000 euros d’actions « gratuites », aussi appelées stock-options, au cours de 29,66 euros l’action, soit presque 14 500 actions. Le principe de ces actions est simple.

Lire aussi : Pécresse, Alstom et les éoliennes : délit de favoritisme ?

Leur propriétaire les achète au cours du jour de leur attribution gratuite, et les vend au cours du jour de leur vente, plusieurs années plus tard. Si le cours a grimpé entretemps, il réalise une plus-value. Lors des élections régionales de 2015, les stock-options d’Alstom étaient absentes de la déclaration d’intérêt de Valérie Pécresse. Interrogée par nos soins, l’équipe de Mme Pécresse a répondu que la présidente de la région Île-de-France, ayant pouvoir sur le Stif, l’autorité organisatrice des transports en Île-de-France, elle pouvait favoriser Alstom – et donc son propre patrimoine – en lui commandant des trains. [...]

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Pécresse, Alstom et les éoliennes : délit de favoritisme ?

En juillet 2021, nous publions un article sur le lien entre Valérie Pécresse, alors ministre du Budget, et l’attribution en 2012 à EDF et Alstom Renouvelables, présidé par son mari Jérôme Pécresse, d’un méga contrat d’environ 10 milliards d’euros pour l’installation de trois champs d’éoliennes offshore.
En réponse, Valérie Pécresse nous a écrit le 22 juillet, pour nous assurer avoir interdit par une circulaire de soumettre à sa décision, ou à celle de son cabinet, « tout dossier en lien avec l’entreprise Alstom ». Plusieurs sources présentes lors de ces réunions nous ont assuré depuis que le cabinet de Mme Pécresse a bien participé à des décisions concernant l’appel d’offre des éoliennes offshores, qui a enrichi le couple Pécresse.

Lorsque le gouvernement doit prendre une décision collégiale un peu technique, il utilise des réunions interministérielles (RIM). Elles se tiennent sous la présidence d’un membre du cabinet du Premier ministre et réunissent des membres des cabinets ministériels concernés. Les décisions d’une RIM font l’objet de procès-verbaux. Longtemps, leur papier a été bleu, d’où l’expression « les bleus de Matignon » pour les qualifier.

Lire aussi : Révélations : Pécresse et l’éolien, un business juteux

En 2011, des RIM ont eu lieu quasiment tous les mois pour l’appel d’offre des éoliennes offshore. Elles étaient organisées dans des locaux du gouvernement situés rue de Varenne, en face de l’hôtel de Matignon, dont les effectifs débordent dans les immeubles alentours. Les conseillers du Premier ministre Fillon chargés de les présider y avaient leurs bureaux. Ces RIM rassemblaient une dizaine de conseillers. Il fallait compter trois à quatre représentants de Matignon, dont ceux du Secrétariat Général de la Mer et du Commissariat aux investissements d’avenir. Parmi les ministères concernés se trouvaient l’Environnement, la Défense (les éoliennes en mer pouvaient potentiellement gêner les radars de la Marine) et Bercy, dont le Budget. [...]

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Enquête : qui finance l’association pro-migrants Utopia 56 ?

La semaine dernière, nous vous parlions de l’Assemblée générale de lutte contre toutes les expulsions, communément appelée « l’AG », qui a revendiqué le 22 janvier l’installation sauvage de plusieurs migrants dans une maison de Ouistreham, dans le Calvados, avec le soutien de deux autres organisations gauchistes, Citoyen-ne-s en lutte Ouistreham et l’Union communiste libertaire. La première se déclare affiliée à Utopia 56, l’association star de soutien aux migrants.

Utopia 56 a été fondée en 2016 par des Bretons issus du monde du spectacle. Yann Manzi était régisseur du festival des Vieilles Charrues et de ses 35 000 tentes. Le fils Gaël, qui a pris sa suite à la tête de l’association, était serveur. De 2016 à 2018, les Bretons sont montés à la jungle de Calais. Ils ont fait ce que personne n’acceptait. Ils ont nettoyé les ordures et le reste. Ils ont dressé des tentes et ouvert des points d’eau. Il faut reconnaître un dévouement. Les « éboueurs de la jungle » sont devenus médiatiques. Les adhérents sont montés à 4 000 bénévoles en deux ans. [...]

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Enquête : les occupations illégales de logement

Samedi 22 janvier, l’Assemblée générale de lutte contre toutes les expulsions, communément appelée « l’AG », a revendiqué l’installation sauvage de plusieurs migrants dans une maison appartenant à la mairie d’Ouistreham, dans le Calvados. Il s’agit de la septième occupation illégale d’un logement organisé par ce mouvement en Normandie.

La maison occupée était vide depuis deux ans. La mairie avait prévu de la louer à EDF, qui en a besoin avant la construction d’une base de maintenance pour l’un de ses projets d’éoliennes offshore. Le projet ayant pris du retard, le local est resté inoccupé. Or il peut accueillir jusqu’à cinq personnes. L’AG a prévu de s’en servir pour cinquante Soudanais qui campent non loin de là. À tour de rôle, ils pourront avoir accès à des « conditions de vie décentes », a expliqué l’AG, qui a commandé des fleurs dès son arrivée, pour commencer à faire courir le délai de 48h après lequel la police ne peut plus expulser des occupants illégaux. L’AG prévoit d’attaquer systématiquement devant les tribunaux administratifs toutes les décisions préfectorales qui iront dans le sens d’une expulsion. [...]

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Enquête : le FORIF, dernière trouvaille de la gauche pour infiltrer l’islam en France
À l’inverse du très formel CFCM, miné par des querelles nationalistes et idéologiques, le forum serait une enceinte ouverte et participative. Il serait articulé autour de quatre axes : la gestion des aumôniers musulmans (dans les hôpitaux, armées et prisons), la formation des imams et autres cadres associatifs musulmans, l’application des règles du droit canonique islamique dans le respect de la loi du 24 août 2021 confortant « le respect des principes de la République », et enfin le recensement des actes antimusulmans. À ce sujet, Mohamed Louizi a publié sur son site un excellent article sur les enjeux du FORIF. M. Louizi est un ingénieur franco-marocain, qui se qualifie « d’humaniste de foi musulmane ». Avec courage, il milite pour un islam apolitique et débarrassé de l’islamisme. [...]
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Enquête : la Présidence française du Conseil de l’UE

Au sein de l’UE, le pouvoir législatif est détenue partie, sinon ce serait trop simple, par le Parlement. Le judiciaire se trouve aux mains de la Cour de Justice. Il reste l’exécutif. C’est là que l’Union devient artistique. Dans une organisation normale, l’administration obéit. Ici, elle détient une partie du pouvoir sous le nom de Commission européenne. L’autre partie appartient au Conseil européen, qui réunit les chefs d’État des pays membres. Ce conseil définit les grandes orientations et les priorités générales. Pour leur mise en œuvre, il faut voir avec la Commission et le Conseil de l’UE.

Cette dernière enceinte réunit les ministres. Elle sert à mettre de l’huile dans les rouages dans une dizaine de domaines. Il s’agit d’organiser des réunions, élaborer des compromis ou encore veiller à la cohérence et à la continuité du processus de décision. Techniquement parlant, le Conseil de l’UE dispose aussi d’une fraction du pouvoir législatif avec le Parlement. Tous les six mois, la présidence de ce conseil des ministres change. Du 1er janvier au 30 juin 2022, les Français le piloteront. [...]

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L’Incorrect numéro 73

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