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Marion Maréchal : « Le défi du bateau de Thésée face à l’immigration »

Imaginez un navire. Un navire dont vous commenceriez par changer la proue, puis le gouvernail, la coque, le mât, la voile et enfin l’ensemble des pièces qui le constituent au fur et à mesure de leur érosion. Selon vous, à l’issue de cette transformation, sera-ce toujours le même vaisseau ? Cette image de Plutarque dans Vie de Thésée offre le support pour une réflexion essentielle sur l’identité. Imaginons que ce bateau soit notre civilisation et que vous en remplaciez le peuple, la culture, les mœurs, la religion, serions-nous toujours devant la même civilisation ? Telle est la question vertigineuse que nous posent l’immigration de masse et son corolaire, l’islamisation.

Bien sûr, malgré le grand remplacement à l’œuvre, la France sera toujours sur le continent européen, elle aura toujours les mêmes frontières, les mêmes paysages, du moins si elle échappe à la bétonisation accélérée et aux champs d’éoliennes, elle conservera certainement le même nom.…

Éditorial d’Arthur de Watrigant : Le lâche, la brute et le bourgeois

Des mégabassines de Saint-Soline aux Grands Boulevards parisiens l’extrême gauche rejoue le grand soir. Sous les yeux béats d’Anne Hidalgo, l’Esmeralda des surmulots, Paris s’est transformée en déchetterie géante, logique, diront certains, pour la capitale d’un pays devenu la poubelle du monde. Le terrain de jeu se révèle idéal pour les milices gauchistes qui feignent de combattre le fascisme en pompant sur les groupies de Mussolini, des méthodes aux cibles, le style en moins. Alors ils canardent à coups de mortiers artisanaux le flic smicard, ils repeignent chaque devanture d’ACAB, ils dépècent les abribus, déterrent des poteaux de feux de circulation et bien sûr visent les symboles du grand capital, les Mac Do, oubliant que les assurances rembourseront tout, même un peu plus. « Ces gueules de fils à papa aux prérogatives de petits-bourgeois » comme le fulminait le grand Pasolini, se tamponnent de détourner l’attention des contestations sociales ou de la misère des p’tites gens qu’ils méprisent autant qu’un banquier, car seul compte le chaos : cette pulsion prépubère qui les fait bander en lançant du pavé pour mieux dégueuler leur hystérie révisionniste comme un lendemain de cuite à la tequila bas de gamme.

Minaret et déminage
Vendredi 17 mars, Joris Hébrard, le député RN de la première circonscription du Vaucluse, inaugurait
Frédéric Cabrolier (RN) : Réforme des retraites, un fiasco démocratique

En choisissant l’utilisation du 49.3 pour le vote à l’Assemblée nationale de la réforme des retraites, le gouvernement a non seulement commis un véritable déni démocratique mais a aussi reconnu qu’il n’y avait pas de majorité pour voter cette réforme. Et pour cause le véritable objectif de la retraite à 64 ans est de satisfaire Bruxelles et de rassurer les marchés financiers comme l’ont avoué la députée Aurore Bergé et le ministre des finances Bruno Le Maire.

Rapporteur du Plan de relance, je sais que l’Union européenne utilise le versement progressif des 40 milliards d’euros promis au titre du Plan national de relance et de résilience, pour imposer des réformes en matière de transition énergétique mais aussi sociales dont la réforme des retraites. Ainsi la subvention totale actualisée que doit recevoir la France d’ici 2026 s’élève à 37,46 milliards d’euros, soit une perte de 2 milliards d’euros.

En commission des finances Pierre-Louis Bras, président du Conseil d’orientation des retraites (COR) nous a également confirmé « qu’il ne s’agissait pas d’une réforme du système des retraites mais d’une réforme de baisse des dépenses publiques » afin de faire repasser le déficit public sous les 3 % du PIB en 2027.…

Fuck Abstraction ! : l’œuvre qui fait bondir Caroline Parmentier

Dans une vidéo postée sur Twitter, Caroline Parmentier s’indigne : « Je dénonce ce tableau de Miriam Cahn qui présente aux yeux de tous une scène de pédocriminalité. » Elle pointe du doigt l’œuvre Fuck Abstraction ! exposée depuis le 17 février au Palais de Tokyo de Paris. Cela faisait déjà quelques semaines que cette peinture créait la polémique sur les réseaux sociaux. En effet, elle met en scène un homme qui contraint un enfant ligoté et à genoux de lui faire une fellation. Un viol donc.

L’artiste précise – sans faire mention de l’âge de la victime – dans un texte attenant au tableau : « Il s’agit ici d’une personne aux mains liées, violée avant d’avoir été tuée et jetée dans la rue. La répétition des images de violence dans les guerres ne vise pas à choquer, mais à dénoncer. » Le musée a également posé une pancarte à l’entrée de la salle avertissant : « Les œuvres réunies dans ces salles sont de nature à heurter la sensibilité des publics, particulièrement des plus jeunes.

L’Incorrect numéro 73

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