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[Opéra] Cherubini, un Italien à Paris 
Adepte d’une « nouvelle école dramatique » au tournant du XIXe siècle, Cherubini est presque tombé dans l’oubli. Bonaparte jugeait sa musique trop difficile. À la Restauration, ce Florentin expatrié à Paris fut nommé directeur du conservatoire. De son œuvre, la postérité ne retient que Médée ou quelques titres sacrés, dont le magnifique Requiem à la mémoire de Louis XVI. Et c’est dommage, vu la richesse, la profondeur, la virtuosité de son écriture, qui lui valurent même l’admiration d’un Beethoven. […]
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Sélectron : les meilleures chansons de Noël 

10) White christmas, Otis Redding

https://www.youtube.com/watch?v=tT7y9xySAU0

Le White christmas d’Otis Redding, c’est une voix déchirée et traînante qui s’anime brusquement, ce sont les sonorités mélancolique du blues alliées à la douceur de Noël pour créer un résultat tout en nuance et en poésie. Cette chanson est sortie en octobre 1968 à titre posthume puisqu’Otis Redding est mort dans un tragique accident d’avion en 1967.

9) Mon beau sapin, Tino Rossi

https://www.youtube.com/watch?v=TWfddRO9hu4

Une chanson dédiée au prince des foyers réchauffés par la fête de Noël, le sapin. Elle a bercé notre enfance de petits Français, chantée par la voix fluette de notre maman pour nous endormir dans l’excitation de la nuit du 24 décembre. Merci Tino.

8) Petit papa Noël, Tino Rossi

https://www.youtube.com/watch?v=NPwUJDtvxJA

Oui encore Tino. Le saviez-vous ? Cette chanson sortie en 1946 est la plus vendue de l’histoire en France. Voilà. Même s’il y a peu de grandes chansons de Noël française (en dehors des chants religieux, qui feront l’objet d’un prochain sélectron), même si le Christmas spirit est surtout une affaire américaine, nous aurons livré au genre « Petit papa Noël », et ça, personne ne nous l’enlèvera jamais.

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Les critiques littéraires de décembre

NOUVELLISTE ET NOVATEUR

CE PARC DONT NOUS SOMMES LES STATUES, GEORGES-OLIVIER CHATEAUREYNAUD, Grasset, 206 p., 19 €

Georges-Olivier Chateaureynaud a beau avoir publié plus de romans que de nouvelles, notamment le célèbre et quasi classique L’Autre rive, c’est peut-être comme chef de file depuis 40 ans du renouveau en France de la nouvelle et des récits de l’imaginaire qu’il aura marqué l’époque. Ce Parc dont nous sommes les statues rassemble dix récits dans la pure tradition du fantastique et de l’étrange, mais mise au goût du jour, avec un mélange d’accessoires classiques (les vieilles photos dans « La brocante mystique ») et d’objets contemporains, qui poussent doucement l’univers de l’auteur vers la SF (le portable dans… « Portable », les bases de données et la tyrannie des IA dans « Oh Bigdata ! », où un ordinateur central réattribue aux gens un métier, un foyer, une famille, bref, une vie, selon les lubies de l’algorithme). « Un fantastique adulte se passe fort bien du mal et de la peur », dit un personnage d’écrivain. La preuve par dix, façon masterclass. Bernard Quiriny

Ce parc dont nous sommes les statues de Georges-olivier Chateaureynaud, Grasset, 206 p., 19 €

LITTLE ITALY

NUIT AMÉRICAINE, PIERRE REHIV, Cosmopolis, 544 p., 22 €

Rome 1959 : à seize ans, Fabio De Angelo s’éprend de la belle Rafaela Contini, fille de déportés juifs milanais qui ne sont jamais revenus des camps de la mort. Elle rêve de cinéma et décroche un stage auprès de Vittorio De Sica quand Fabio doit s’exiler à New York après un homicide, sans savoir qu’elle est tombée enceinte de lui. C’est peu après son arrivée dans le quartier de Little Italy que Fabio découvre que son riche oncle Zio Coscarella n’est autre que l’un des chefs les plus puissants du syndicat du crime fondé par le Lucky Luciano. Voici campé le décor de ce remarquable roman noir construit autour des ramifications et des agissements de la mafia italo-américaine sur fond d’industrie cinématographique, par un auteur alliant l’expérience du journalisme, la maîtrise de la narration et la qualité du style. Très réaliste, cette fiction documentée renoue avec la tradition des grands romans historiques. Découvrez sans attendre la face cachée du rêve américain ! Jérôme Besnard

[…]
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Sélectron : les meilleurs films de Noël

10 - La course aux jouets

C’est l’histoire d’un papa submergé par la charge mentale de devoir apporter des sous à sa famille, et qui en oublie d’acheter un cadeau à son fiston. Par ailleurs, le voisin du pavillon d’à côté est extrêmement pénible et porte des lunettes. Dans la panique, le papa (en principe vous vous identifiez à lui) fait une promesse à la con pour se rattraper et promet d’offrir une figurine de Turboman à fiston, l’erreur, la boulette, c’est la catastrophe, les emmerdes volent en escadrille. La figurine est introuvable, parce que tous les gamins des cinq continents et des sept mers sont biberonnés à Hollywood, tout ça. Le papa se bagarre pour trouver l’objet, se bat avec des père-Noël qui font du Kung-fu, tabasse un renne, fait fuir une chorale avec un cadeau enflammé, on ne se souvient plus du sort du voisin mais il doit prendre son tarif au passage, a des ennuis avec les flics municipaux et un postier débile. Le papa (vous vous y identifiez, voir cristallisez, c’est Noël) retrouve sa virilité, et avec l’amour de son fils de sa femme, et insulte le capitalisme pour la route. Une œuvre très éducative pour les enfants, et inspirante pour les parents.

https://www.youtube.com/watch?v=Tcj_k50GJxc

9 - L’Étrange Noël de monsieur Jack

Tim Burton a réussi la prouesse de transposer son univers fantastico-bizarroïde dans un film de noël aussi poétique que régressif. Ici le big boss du monde d'halloween, Jack Skellington, pallie sa dépression en organisant le meilleur des noëls. Problème : tout ne se passe pas comme prévu, surtout lorsqu'il décide de capturer le père Noël, mettant ainsi en danger l'esprit des fêtes. Un film qui reflète parfaitement la magie de notre fête préférée avec quelques touches humoristiques et macabres, ça reste du Tim Burton quand même.

https://www.youtube.com/watch?v=ck_20rVKt_4

8 - Santa & cie

Rien ne va plus à l’approche du réveillon : les 92 000 lutins chargés de fabriquer les cadeaux des enfants tombent tous malades en même temps ! C’est un coup dur pour Santa (Claus), plus connu sous le nom de Père Noël… il n’a pas le choix : il doit se rendre d’urgence sur Terre avec ses rennes. C’est peut-être le plus beau rôle que le réalisateur Alain Chabat offre à Alain Chabat l’acteur. Cet improbable Père Noël est à côté de ses pompes, fantasque et capricieux. Chabat réalisateur a une âme d’enfant, pour le meilleur (Astérix et Obélix : Misson Cléopâtre) et pour le pire (Sur la piste du Marsupilami), et Noël est le terrain de jeux cinématographique idéal pour laisser vaguer la fantaisie, la magie et l’espièglerie. La magie est celle de Montmartre, de Méliès et du grand cinéma populaire. Tout devient ludique, les jouets inventés pour l’occasion, les mots, les décors, les situations écrites sur mesure pour des acteurs qui s’amusent à enrichir le film de leur propre fantaisie. Poétique, généreux, hilarant, contemporain et atemporel, Santa & Cie se révèle être une délicieuse gourmandise à partager en famille. 

https://www.youtube.com/watch?v=tiD4KLSVo-E

Lire aussi : Sélectron : les santons de Provence

7 - Miracle sur la 34e rue

Les puristes feront une crise cardiaque. Gneu gneu, miracle sur la 34e rue c’est le film de 1947, pas de 1994. Mais il s’agit ici du sélectron des films de Noël, pas des films en noir et blanc de Noël. Et puis on veut mettre en avant cette actualisation un peu décriée du classique de 47. Un peu avant Noël, le Père Noël, fatigué par son métier, débarque incognito en plein New York. Il est vite repéré par une responsable de Cole, l’un des deux grands magasins de jouet de la ville, qui veut le recruter comme Père Noël. Santa finit par accepter. Très vite, les ventes de Cole s’envole, alors que le vieil homme tisse des liens avec Dorey, la femme qui l’a recruté, et sa fille, ainsi que Bryan Bedford, jeune avocat talentueux secrètement amoureux de Dorey, veuve. Mais très rapidement, le concurrent de Cole accuse leur Père Noël d’être un fou qui prétend être le vrai locataire du Pôle Nord. S’ouvre alors un procès pour lequel New York s’engoue, où le Père Noël doit prouver son identité. Un magnifique film qui porte aussi sur la foi, mais qui donne une réponse aussi belle que désespérée : peut-être que la foi se trompe, mais il est nécessaire pour accomplir le moindre acte de valeur de croire qu’elle ne se trompe pas. [...]

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Pier Paolo Pasolini : poète maudit 

Une rétrospective timide dans une poignée de salles parisiennes, quelques rééditions de monographies : le centenaire du cinéaste et poète Pier Paolo Pasolini n’aura pas été à la mesure du génie transalpin. Cette compilation de textes raisonnés et réunis par son grand spécialiste français, le romancier René de Ceccatty, nous le rappelle si besoin était : Pasolini est un géant à la mesure de Dante. Davantage que devant un réalisateur, on est devant un « poète qui avait choisi de s’exprimer à travers le cinéma », celui-ci étant vu comme un médium au sens propre : un déclencheur de vérité. Or notre époque délibérément veule n’aime que les âmes minuscules aisément étiquetables. Ce n’est pas trop le cas de Pasolini, imaginez un peu : voilà un homosexuel qui détestait sa condition, un communiste de la première heure qui n’avait que mépris pour les évènements de 68 et qui se disait résolument contre l’avortement tout en louant la tradition et les Évangiles... Aujourd’hui, scruté par le prisme imbécile de la néo-gauche sociétale, il serait assurément taxé de réactionnaire – voire pire. 

Pour Pasolini, la poésie consistait à tenir le discours de la vérité en retrouvant un langage liminaire, débarrassé de ses affèteries sociales

Mystique hétérodoxe 

C’est mal connaitre sa pensée, dans laquelle René de Cecatty nous fait entrer à travers une poignée de textes savants, qui en détaillent ses aspects les moins connus ou les plus obscurs : son rapport à Sade ou à Shakespeare – forcément tempétueux – sa conception du théâtre ou son « sentiment du tragique » qui lui fit avoir tout au long de son existence un pressentiment d’ordalie, une volonté suicidaire et sacrificielle. Ceccatty insiste surtout sur son rapport au dialecte, à la langue, puisque Pasolini eut son premier « foudroiement esthétique » lorsqu’il fut initié par ses jeunes élèves au frioulan, ce patois parlé dans la région du Frioul, à mi-chemin entre le provençal et l’italien, et qui le convainquit de devenir poète. Pour Pasolini, la poésie consistait à tenir le discours de la vérité en retrouvant un langage liminaire, débarrassé de ses affèteries sociales. [...]

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Black Panther, Wakanda Forever : une arme de désinformation massive contre la France ?

Qu’avez-vous pensé des scènes de Black Panther : Wakanda forever où est représentée la France ?

Les scènes que j’ai vues de cet opus de Black Panther sont gravissimes. Wakanda Forever est un film révisionniste, une fake-news superproduite à l’américaine. Sous couvert de science-fiction, il fait directement écho à la guerre du Mali, dont il livre une interprétation ahurissante.

La France y est représentée comme une puissance néocoloniale qui fait intervenir ses mercenaires au Mali sur un motif fallacieux afin de pouvoir y piller un métal fictif rare, le « vibranium ». Le film met ainsi en scène une accusation directe de la France par la reine du Wakanda à l’occasion d’un sommet des Nations-Unies imaginé à Genève, ainsi qu’une tentative de raid des forces armées françaises sur un centre de traitement du vibranium (qui ressemble furieusement, à l’uranium, métal non rare importé par l’industrie nucléaire française en toute régularité depuis le Niger, le Kazakhstan et le Canada), situé au Mali.

Dans la réalité, l’armée française a été appelée à l’aide par le pouvoir légal malien en 2013 pour faire face à une vague d’insurrection de mouvements armés rebelles touarègues et djihadistes. Alors que l’armée malienne était en extrême difficulté et le Mali au bord du chaos généralisé, l’opération Serval a infligé une série de défaites aux groupes terroristes, permettant aux autorités maliennes de reprendre le contrôle de nombreuses villes (Gao, Tombouctou, Kidal, Tessalit…) et de libérer leurs populations de la terreur et de stopper la progression des djihadistes vers le sud du pays. Cette opération n’était pas isolée, elle s’est effectuée en accord avec la résolution 2085 du Conseil de sécurité des Nations-Unies. C’est dans ce cadre que l’armée française a été déployée avant d’être rejointe par les forces armées ouest-africaines de la Communauté des États d’Afrique de l’Ouest. La régionalisation du conflit au Sahel a provoqué la création de l’opération Barkhane, conduite en coordination avec le G5 Sahel, cadre intergouvernemental de coopération entre les autorités du Mali, de la Mauritanie, du Burkina, du Niger et du Tchad. [...]

[Cinéma] Sous le soleil de l’Islande : entretien avec Hlynur Palmason

À l’origine du film, il y a une poignée de photographies qui auraient été prises par un prêtre en Islande au début du XXe siècle.

J’ai pris soin de semer le doute sur ces photographies. Elles sont une pure fiction, mais elles ont été décisives dans le développement du projet. Quand j’ai commencé à écrire le scénario, en 2013, j’ai eu pendant longtemps des problèmes avec le film, il me manquait un déclic. C’est lorsque j’ai commencé à imaginer mon personnage de prêtre muni d’une caméra que les choses se sont enchaînées. Les prêtres missionnaires devaient souvent documenter visuellement leur mission, j’ai commencé à imaginer ces images et cela a stimulé le processus d’écriture.

Le choix du format 4/3, l’économie très stricte des mouvements de caméra, les cadrages évoquent immédiatement le cinéma muet…

Je suis un grand admirateur du cinéma muet, il m’a beaucoup inspiré à cause de son aspect très physique, et le format 4/3 relève de ça, parce qu’il utilise toute la surface du négatif. C’est un très beau format que j’ai choisi parce que j’avais des problèmes avec le Super 35, le format avec lequel j’ai tourné mon film précédent. Je ne le trouvais pas très intéressant pour cadrer les visages et pour le rendu expressionniste que je cherchais sur Godland. Le 4/3 s’est donc imposé pour les visages, mais aussi pour les paysages, qui deviennent luxuriants et beaux, tout en gagnant en intimité. Avec le 4/3, chaque mouvement d’appareil devient presque essentiel, on n’a pas besoin d’en faire trop. De plus, il rappelle le format de l’appareil qui est utilisé par le héros du film, qui est une caméra de huit pouces sur dix. Je tiens à préciser qu’il n’y a aucune retouche numérique sur le film.

Lire aussi : [Enquête] Culture : bilan d’une année woke

Godland a été intégralement filmé sur des lieux que vous connaissez parfaitement, puisqu’il s’agit de votre région natale, où vous vivez toujours.

Oui, c’est très important pour moi, et j’aime beaucoup travailler avec des lieux que je connais, écrire pour des lieux que je peux revisiter en écrivant. J’aime aussi écrire pour des acteurs précis, je sais qui va parler et qui va se déplacer dans ces paysages. Cela m’aide vraiment à imaginer l’ambiance et la couleur du film. Mais tourner dans cette région était aussi une gageure, car elle est très sauvage, très difficilement praticable. Nous avons souffert autant que nos personnages en acheminant le matériel de tournage sur ces plateaux reculés, parfois à pied, souvent à cheval. Je crois que cette épreuve physique vécue par toute l’équipe se ressent dans le film. Il s’agit d’un petit film artisanal, mais les conditions de tournage lui ont conféré une dimension épique. C’est un mélange assez radical d’intimisme et d’ambition. [...]

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[Cinéma] Tempête : tristesse et jubilation 
Zoé grandit dans le haras de ses parents où elle lie une relation très intense avec une jeune pouliche, Tempête. Lorsque la jeune fille est grièvement blessée par l’animal, elle s’enfonce dans une apathie amère dont elle se relèvera lentement grâce à sa passion pour l’équitation. Capable du meilleur comme du pire, Duguay nous livre cette fois un récit familial très réussi, qui oscille habillement entre tristesse et jubilation. [...]
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L’Incorrect numéro 73

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