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Le pactole des éoliennes

Construire un parc éolien est devenu une affaire de patience, à condition d'avoir les reins solides. Face à une opposition qui se structure et attaque systématiquement les permis au tribunal, les grands acteurs de l'énergie renouvelable se sont organisés. Aucun n'a abandonné l'éolien terrestre. Il rapporte trop pour cela. Prenons un exemple. Le coût d'investissement d'un parc éolien est d'environ 1,5 million d'euros par MW installé. Donc, si vous plantez 5 éoliennes de 2 MW, vous en avez pour 15 millions. En moyenne, les parcs éoliens sont financés à 80 % par de la dette bancaire. Les banques peuvent vous prêter 12 millions. D'après un rapport de la Commission de Régulation de l'Énergie de 2014, la moyenne des taux est de 3,5 %. Elles prêtent en général sur quinze ans. 

Pendant cette période, vous allez rembourser 1 029 430 80 euros par an. Vous devez aussi payer les opérations et la maintenance. Il y en a pour 40 000 euros par an et par megawatts. Avec vos 10 MWc, cela vous coûte donc 400 000 euros par an. Et puis il faut aussi payer le capital que vous avez investi. En moyenne le rendement affiché est de 5 %. Comme vous avez investi 3 millions, vous ramassez 150 000 euros par an. Sauf que vous êtes un petit malin et qu'une partie des frais de la maintenance tombe dans votre poche. Avec cela vous remontez tranquillement votre retour à 10 %, soit 300 000 euros par an. Bravo. Et puis, après quinze ans, c'est la chute d'eau. Le remboursement est terminé mais l'éolienne va tourner encore dix bonnes années, moins bien qu'avant mais de quoi vous servir un bon million par an. 

Lire aussi : Révélations : Pécresse et l’éolien, un business juteux

Bref, pour planter vos cinq éoliennes et ramasser 300 000 euros pendant quinze ans puis 1 million par an pendant dix ans, vous n'avez besoin de sortir que 3 millions. Certains sont parvenus à convaincre les banques de financer 85 ou 90 % et parfois jusqu'à 100 % des coûts de construction. Ils n'ont alors investi que dans les frais de développement, c'est-à-dire l'obtention d'un permis purgé de tout recours. Comptez 300 000 euros sur huit ans maximum. Et après c'est le jackpot.

D'après EDF, en 2019, il y avait 16,5 GW éolien installé en France. L'investissement total représente 25 milliards. Les banques ont gagné 5,7 milliards d'euros sur ces projets à raison de 80 % de prêt sur 15 ans à 3,5 %. Les entreprises de travaux publics ont gagné 10 %, soit 2,5 milliards pour la construction. Les bureaux d'études ont gagné 8 %, soit 2 milliards. À eux tous ils ont ramassé les miettes. L'essentiel de la richesse des éoliennes, à hauteur de 72 %, soit 18 milliards, est passé chez des turbiniers, qui sont tous étrangers. [...]

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Enquête : le coût du gouvernement des fonctionnaires

Le chef de l’État, haut fonctionnaire, a fini par se rendre compte qu’il ne détient pas le pouvoir. Ce dernier est réparti entre le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, la Cour de cassation, les préfets, les inspecteurs des finances et quelques autres corps. Depuis 1945 et l’irruption d’un droit international décorrélé de la nature humaine, puis l’avènement d’administrations multilatérales, la fonction publique a lentement, mais sûrement, rongé les pouvoirs du politique et de la société civile. Sous couvert de respect des traités, les députés se sont fait forcer la main pour voter des lois qui ont transféré l’exercice du pouvoir concret au domaine réglementaire et judiciaire. En 2021, plus une seule loi n’est appliquée sans un décret d’application.

La France n’est pas gouvernée, mais administrée. Et nous avons quitté une ère pendant laquelle tout était autorisé sauf ce qui était interdit. Sanctuarisé par le principe de précaution, tout est interdit sauf ce qui est autorisé après étude d’impact. Pour gérer ce transfert de pouvoir, l’État a recruté massivement. Pour faire face, il a augmenté les impôts. Le mouvement a commencé sous de Gaulle. Pompidou l’a inversé et stabilisé. Puis il est reparti à la hausse sous Giscard. Que se passerait-il si nous revenions aux taux pompidoliens ? Ils étaient de 34 %. En 2020 nous en étions à 44,5 %. L’écart est de 10 points et il porte sur un PIB de 2 400 milliards. La différence est de 252 milliards. 75 % de la somme concerne les dépenses sociales, et le reste le budget de l’État. [...]

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Des ministres au service des éoliennes : un régime d’exception

Dispense de permis de construire

Dispensées de permis de construire depuis un décret du 26 janvier 2017 (sous le ministère écologique de Ségolène Royal), les éoliennes relèvent du statut de « l’autorisation environnementale unique ». Du temps du permis de construire, un accord de la mairie était requis pour tout projet éolien, ce qui donnait lieu à des délibérations, avec en amont un démarchage des promoteurs auprès des élus locaux et donc des prises illégales d’intérêt. Avec la fin du permis de construire, plus besoin de l’accord des élus, c’est l’administration qui décide.

Ne restent plus aux élus que des décisions périphériques comme l’autorisation de survol des terrains communaux par les pales, ou le passage des câbles sur les routes ou dans les champs. À noter que ces délibérations périphériques donnent encore lieu à des prises illégales d’intérêts : pour exemple, un élu qui donnerait son aval pour l'enfouissement de câbles sous des terrains communaux, alors que lesdits câbles passeraient aussi sous ses terrains privés, lui assurant un revenu. Avec la suppression du permis de construire, l'implantation des parcs éoliens échappe non seulement aux délibérations locales, mais également aux règles d'urbanisme.

Degré unique de juridiction

Depuis les deux décrets « Lecornu / Rugy » du 24 décembre 2018, les recours contre les projets éoliens passent directement devant la Cour d’appel administrative (qui exige des frais d’avocats, contrairement au tribunal administratif). Concernant les éoliennes en mer, la raison invoquée pour cette suppression du double degré de juridiction est que les contentieux de l'éolien offshore nécessitent une expertise que n'ont pas nécessairement les tribunaux administratifs. Devant la multiplication des affaires, et le risque de voir freiné le développement de l'éolien en mer, le gouvernement de l'époque a donc décidé de les « centraliser » à la Cour d'appel administrative de Nantes. [...]

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Enquête : combien coûte la gauche en France par an ?

Pour la commodité de l’exercice, nous avons regroupés les dépenses en trois familles.

La première concerne les groupes de pression de gauche. Nous parlons des associations. Elles se rangent dans deux catégories : les têtes de réseau du type SOS Racisme ou LICRA, ou leurs déclinaisons locales (SOS Racisme Poitiers, LICRA Tours, LGBT Bordeaux, etc), qui forment une myriade d’associations. Cette nébuleuse dépense au total 973 millions d’euros d’argent public par an, sous forme de subventions ou de défiscalisation. Tout le monde paye pour elle. Les villes de plus 30 000 et 100 000 habitants lui allouent 600 millions. Leur nombre est tel (sans doute 1% de toutes les associations françaises) que l’État leur verse une somme estimée par L’Incorrect à 340 millions au moins.

Lire aussi : Enquête : le Vatican, les capitalistes et la CIA unis pour le progrès

La deuxième famille est plus importante. Elle regroupe des corps constitués déviés de leur mission première et qui se sont mis à promouvoir des thèses de gauche, ou qui ont été carrément inventés pour les diffuser. La liste des dévoyés compte les syndicats, les médias, le cinéma, etc. Parmi les monstres d’État dédiés au service des idées de gauche, on compte la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), le Haut Conseil à l’égalité (HCE), et autres Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Le tout représente la somme inouïe de 6,8 milliards d’euros d’argent public dépensés tous les ans pour les idées de gauche. Notez bien que l’équivalent existe dans tous les pays d’Occident qui comptent grosso-modo 800 millions d’habitants. Ces idées de gauche forment donc un marché mondial qui doit représenter dans les 80 milliards d’euros sur la planète, soit une fois et demie le marché mondial des jeans. De quoi alimenter des milliers de lobbyistes. [...]

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Éolien et élus locaux : comme un air de corruption

Pas 1 mais 11 arnaqueurs

En 2013, une élue de Saint-Georges-d’Annebecq (Orne) est condamnée à 1 000 € d’amende par le tribunal correctionnel d’Argentan pour prise illégale d’intérêts. À ses côtés, sur le banc des accusés, onze élus jugés pour les mêmes faits. Tous propriétaires de terrains sur lesquels devaient être implantées onze éoliennes, ils ne s’étaient pas retirés des délibérations sur les zones de développement de l’éolien terrestre (ZDE). Malgré cette condamnation, et une alerte du préfet, un avis favorable est donné au projet.

Pas bête la guêpe

En 2015, une conseillère municipale d’Aveyron est privée de ses droits civiques, civils et familiaux pour deux ans et est condamnée à deux mois de prison avec sursis et 1 000 € d’amende. La raison ? Lors d’un conseil municipal, elle a participé au vote d’un projet de construction d’éoliennes sur des terrains appartenant à son mari, à sa belle-soeur et à son beau-frère. 46 500 €, c’est la somme que lui a rapportée annuellement ce projet, pendant presque deux ans. [...]

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Révélations : Pécresse et l’éolien, un business juteux

En 2007, le Grenelle de l'environnement décide l'installation d'éoliennes à terre et en mer. En 2010, le ministre Nathalie Kosciusko-Morizet lance un appel d'offres pour les éoliennes en mer avec pour objectif d'équiper cinq sites et de créer une nouvelle industrie en France. Le projet est ambitieux, NKM voit grand – elle est bien la seule – tout le monde s'oppose à son idée, même EDF qui par l'intermédiaire de son PDG Henri Proglio confirme à Éric Besson, ministre de l'Industrie et de l'énergie, qu'il n'y a pas besoin des éoliennes en mer. Le projet prend l'eau et patine jusqu'à 2011. Une belle année pour la famille Pécresse puisque Valérie est nommée ministre du Budget et Jérôme, son mari, promu président d'Alstom Renouvelables. Une double promotion qui déclenche une série de décisions étonnantes…

D’abord, EDF change d’avis. Henri Proglio se dit soudainement qu’il faut des éoliennes en mer, et pas qu’un peu : il va jusqu’à imaginer que leur puissance cumulée soit comparable à une grosse centrale nucléaire. Et l'idée qu'un concurrent puisse déployer une telle puissance en France représentant une menace trop importante pour EDF qui s'accroche à son rang de « leader mondial de la production d'énergie neutre en CO2 », quelques mois plus tard, Proglio retourne chez Besson pour lui demander de lui attribuer tous les champs, en lui déclarant qu'il s'allie à Alstom pour remporter les cinq sites. Une annonce surprenante…

Lire aussi : Enquête : éolien, la face sombre des pales

Alstom et l'éolien, c'est une histoire d'amour récente. En 2007, le groupe avait certes décidé d'entrer sur le marché de l'éolien en rachetant un fabricant espagnol spécialiste des engins terrestres. Mais on parle en l'occurrence d'éoliennes offshore, que ne sait pas produire Alstom. Le seul industriel français expérimenté est Areva, grâce au rachat d'un turbinier allemand. Certes, Proglio et la patronne d'Areva se détestent, mais tout de même. Il faut une bonne raison pour cette volte-face et cette alliance inattendue, d'autant plus qu'Alstom n'a même pas de turbine adaptée à la mer, mais uniquement un concept, l'Haliade. Et il faut des dizaines de millions pour développer une nouvelle turbine que ni Alstom ni EDF n'ont l'intention de financer. À moins que Jérôme Pécresse, patron d'Alstom, dispose d'une alliée qui a la clef du coffre-fort de l'État. Comme par magie, tous les obstacles s'évanouissent devant Alstom les uns après les autres.

Pour commencer il faut que quelqu'un s'engage à financer une série d'éoliennes, pour permettre à l'industriel d'ouvrir une usine et de baisser ses coûts. Le ministère du Budget se met à soutenir les efforts de Nathalie Kosciusko-Morizet. L'appel d'offres serait de 10 milliards, dont près de 70 % pour les industriels. Les réunions interministérielles s'enchaînent. Pendant des mois, les représentants du cabinet de Valérie Pécresse soutiennent le principe d'un investissement massif dans l'éolien en mer. Aucun problème. À l'inverse, les autres ministères freinent des quatre fers. Et ils ont de bonnes raisons. [...]

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Enquête : le Vatican, les capitalistes et la CIA unis pour le progrès

Michel Cicurel a publié le 9 juillet dans Le Figaro une tribune pour promouvoir le capitalisme inclusif. Ce monsieur est un financier. Après avoir dirigé pendant treize ans la Compagnie financière Edmond de Rothschild, il a créé en 2014 au Luxembourg la holding d’investissement La Maison, et réuni des actionnaires et co-investisseurs parmi les milliardaires français.

L’idée de capitalisme inclusif arrive des États-Unis et elle s’infiltre en Europe, jusque dans l’Église. Une ONG de milliardaires anglo-saxons appelée Coalition for Inclusive Capitalism et fondée en 2016 par lady Lynn Forester de Rothschild a même signé en décembre 2020 un partenariat avec le Vatican pour créer le « Council for Inclusive Capitalism with the Vatican ». Tout cela sert à faire avancer l’agenda progressiste.

Lire aussi : Enquête : dix grands patrons se coalisent pour l’immigration

Après la débâcle financière de 2008, les Américains ont cherché les responsables de la crise. Ils les ont trouvés du côté de l’alliance des démocrates et de Wall Street initiée sous Bill Clinton. Ces financiers ont senti le vent du boulet et cherché des paravents. Ils ont alors dégainé la notion de capitalisme inclusif. Ce concept flou décrit un vague chemin pour que chacun ait la chance de devenir riche. Il est surtout question d’égalité des chances pour les femmes et les minorités en Occident, ce qui permet d’éviter de réfléchir sérieusement à des solutions pratiques pour éliminer les phénomènes de spéculation ou de sur-rentabilité. [...]

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Enquête : éolien, la face sombre des pales

Comment cela se passe-t-il quand des promoteurs veulent installer un parc éolien ? Fabien Bouglé dans son livre-enquête Éoliennes : la face noire de la transition écologique révèle les secrets du processus d’implantation. Les principaux syndicats de l’éolien en France, c’est-à-dire le SER (Syndicat des énergies renouvelables) et FEE (France Énergie Éolienne), ont mis à disposition des promoteurs un véritable « guide » destiné à faciliter l’implantation des parcs : « Les Epl [entreprises publiques locales] et l’éolien : modalités d’intervention des collectivités territoriales ». Selon ce guide, après une étude de « pré-faisabilité », vient l’étape de « la maîtrise foncière », qui « doit être assurée par la signature de promesses de baux avec les différents propriétaires privés ou publics de la zone d’étude concernée ».

En pratique, les promoteurs démarchent d’abord maires et élus locaux, afin de s’assurer un avis favorable en amont de la chaîne de délibération. Quand ils souscrivent un bail de 30 ans pouvant leur rapporter jusqu’à 100 000 euros par an, ou quand ils agissent comme ce « maire et agriculteur du Pas-de-Calais qui a perçu plus de 400 000 euros de loyer éolien d’une filiale d’Engie et qui a été condamné le 3 juin [2019] à 30 000 euros d’amende par la cour d’appel de Douai », selon la déposition de Fabien Bouglé devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale le 11 juillet 2019, les élus se montrent évidemment favorables au projet. 

De ce contexte idéal pour blanchir de l’argent tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et de subventions européennes, la Cosa Nostra s’est vite emparée

Avec la signature du bail, on leur fait généralement signer une clause les engageant à s’abstenir de tout recours ultérieur. Les maires et les élus ont ainsi le droit de faire installer des éoliennes dans leur jardin et d’en tirer profit ; en revanche ils doivent s’abstenir de toute intervention, même passive, dans le processus de décision, sans quoi leurs actes relèveraient de la « prise illégale d’intérêts » et de « recel de prise illégale d’intérêts ». Ce qui est donc trop souvent le cas. [...]

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L’Incorrect numéro 75

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